Symbolisme et Jeux Olympiques
Pourrait-il y avoir un lien ? A l’évidence pas nécessairement tant les Jeux Olympiques tels que nous les pratiquons en notre siècle sont devenus plus des lieux où les marchands du temple de l’Olympie moderne recherchent fortune mais aussi, sont des manifestations promouvant des pensées plus politiques que sportives. Les médias joutent avec hardiesse avec la composition du tableau des médailles, s’interpellent sur la vie et les performances des athlètes pendant que les aires de fans laissent éclater leur liesse …
Voulez-vous maîtriser le peuple, est-il urgent de ne point agir ou, d’agir sans avoir à justifier ? donnez lui des jeux …
Pourtant le lien entre Symbolisme et Jeux Olympiques ne semble pas être dénué d’intérêt et, même, pourrait-il être d’une opérativité particulièrement efficace.
Efficace, vraiment ? La question ne se pose pas, pour nous initiés qui pensons que les symboles sont consubstantiels à la nature de l’homme. Dès lors, ils sont fort utiles pour opérer des ouvertures voire des fermeture de conscience.
Examinons cela à la lumière des enseignements que la haute philosophie maçonnique révèle.
La franc maçonnerie est, dit-on de façon quelque peu raccourcie, occidentale. C’est à dire qu’elle prend ses racines dans les terreaux judéo-chrétiens couvrant le Moyen orient puis l’Europe puis … le « Grand Occident », l’Afrique du fait de « colonisation ». Depuis les découvertes Napoléoniennes, il est possible de dire que la Franc-maçonnerie à franchement élargie son champ d’investigation puisque le contact avec l’espace-temps porté par l’ancienne Égypte lui a permis de plonger, encore plus loin, dans les sources de l’humanité. La Franc-Maçonnerie devient dès facto universelle. Quand elle refuse cette ouverture, elle se sclérose. Qui ne s’ouvre pas s’éteint.
La franc-maçonnerie est-elle un outil de transformation le la société ? Oui …
Est-elle une école où les mystères de la vie ? Oui …
Est-elle un lieu où les hommes et les femmes qui en sont membres sont susceptibles d’acquérir des outils d’accès au savoirs ? Encore Oui !
Porte-t-elle en elle des aptitudes, des excellences opératives ? Oui
Les compagnons, les vrais, ceux qui, conformément à leur rituel d’élévation à ce degré, deviennent connaissant des sept arts royaux … savent que le « Verbe crée », que la réalité est « Mathématique », que la « vibration est fondatrice » et, enfin, que nul n’existe si la « relation Terre-Ciel » n’est pas syntonisée.
Les Maîtres savent que nulle connaissance ne peut se former sans l’initiation et que seul le symbolisme ou l’allégorie leur assure une réelle possibilité de compréhension du monde dans lequel ils vivent et agissent … cela en lien avec ce qui les transcendent.
Des études scientifiques montrent que qu’elles que soient nos croyances : athées, juifs, chrétiens, musulmans, bouddhistes, hindouistes, d’inspiration amérindienne, tenant des cultures des anciennes civilisations … nous passons par les même arcanes lorsque la restitution de nos corps est requise et notamment la découverte étrange qu’une partie de nous est … non-mortelle ! C’est pourquoi les rites égyptiens nous informent que nous avons, au moins, une obligation : « Apprendre à Mourir ». Ajoutons que pour parler de notre vie, ici et maintenant, la recherche de notre nature androgyne serait garante d’une réalisation parfaite de soi. La rationalité, la rhétorique et la logique sont fort utiles dans un monde matérialiste mais insuffisantes pour nous parler de ce qui nous articule vraiment.
Le « Très sublime Frère » Sébastiano Caracciolo dans son livre sur « la science hermétique » formule cette idée que « pour rectifier la pensée rationnelle en pensée traditionnelle, il ne suffit pas d’user de la méthode traditionnelle, il faut également, vivre la tradition qui s’exprime par les mythes, les symboles, les allégories … sub specie interioritas pour chercher et comprendre les archétypes qui se cachent en elle. Il faut, ici, méditer sur chaque symbole et sur chaque mythe, jusqu’à ce qu’ils révèlent le mystère qu’ils renferment, et une modification sera amorcée dans notre conscience ».
Gare à ceux qui travestissent les symboles et les mythes, ils doivent savoir qu’ils touchent là les profondeurs de l’être et sont causes de modifications des consciences individuelles et collectives. Les compagnons des Rites Égyptiens le supputent, les maîtres en sont conscients de telle sorte que dans leur parcours final, ils doivent affronter les nœuds qui donnent colonne vertébrale à leur existence la plus intime. C’est, assurément, la vocation des Arcanas et de l’Arcana Arcanorum (l’arcane des arcanes). Le premier degré des quatre constituant cette « école des mystères » particulière attire notre attention sur trois points.
La connaissance de « l’animal social et spirituel » que nous sommes, encore une fois indépendamment de nos croyances repose sur la maîtrise de « notre bio-physio-logie », sur la maîtrise de « notre souffle de vie » et enfin sur la maîtrise de « notre imaginaire ».
Trois piliers porteurs de l’âme humaine et de sa capacité à nous maintenir en vie dans un champ de conscience que nous supposons comme universel. Surtout un champ de conscience propre à concevoir la vie comme un lien respectueux des états de conscience de chacun. Chaque état de conscience individualisé transportant chaque être dans un espace temps de fraternité et d’harmonie.
La doctorante Sophie Moreaux-Carré nous parle de notre Très cher frère Carl Gustave Jung en écrivant ceci : « Jung renforce les études empiriques de la psychologie par une introspection philosophique de ce que sont l'imaginaire et le symbolisme. L'inconscient collectif, constitué d'images primordiales, reflète la structure de la psyché de l'homme moderne. L'étude des rêves, les connaissances anthropologiques ou mythologiques, l’herméneutique expliquent le langage figuratif des pensées de l’âme et contribuent à l'élaboration d’une philosophie de l'imaginaire. Les figures mythiques de l'alchimie éclairent le fonctionnement de l'imagination active et expriment le processus d'individuation occidental. Si la confrontation avec l'ombre est la reconnaissance de l'existence des contenus obscurs ou inférieurs de l'ensemble de la personnalité du moi, la relation dialectique conduit aussi à la rencontre d'autres images archétypiques.
Inconsciemment l'adepte se penche sur la synchronicité, sur une métaphysique des types psychologiques, sur la fonction religieuse, sur l'art. . . Mais l'introspection peut se poursuivre au-delà et créer une nouvelle synthèse de la personnalité réunissant les contraires dans une unité métaphysique. L'intérêt de la philosophie pour la pensée jungienne est justifié par l'originalité de son approche des concepts. Sa théorie, régie par l'idée que le but de la vie est la réalisation consciente du soi, offre à la philosophie une réelle réflexion ontologique. »
L’on retiendra, aussi, sur ce sujet les registres Lacaniens de l’expérience analytique : « le Réel », « le Symbolique » et « l’Imaginaire ».
Voici donc, les bases de notre réflexion posée … mais me direz vous : quelle relation avec le monde des Jeux Olympiques ?
Ceux-ci furent créés, disent les historiens de la Grèce antique et selon deux légendes :
- soit par Héraclès, demi-dieu, des premiers temps. Il aurait organisé de tel jeux basé sur la performance physique pour être agréable au Dieu des Dieux « Zeus » de retour d’une expédition victorieuse contre le Roi Augias d’élidé,
- Soit par Zeus, en personne, en mémoire de sa lutte victorieuse contre « Chronos » pour accéder au trône d’Olympie.
Les jeux Olympiques auraient perduré pendant près de douze siècles. Une longévité exceptionnelle dans l’histoire de l’humanité ! Il a fallu attendre l’an 394 pour que l’empereur chrétien Théodose se décida d’interdire de façon drastique ce qu’il considérait comme des célébrations païennes. Nous savons que l’église savait faire en matière de répression ! Mais là n’est pas le sujet. En ce temps là l’église conçut des actions particulièrement hostiles à tout ce qui touchait au corps et à la chair …
Les jeux olympiques modernes furent « réveillés » par Pierre de Coubertin en 1894. Les premiers jeux eurent lieu à Athènes en 1896.
Puisque nous parlons symbolisme dont nous savons, maintenant que nous ne pouvons pas l’isoler ni du réel ni de l’imaginaire donc ni du mythe rassemblons les éléments qui peuvent caractériser les jeux modernes :
- tout d’abord une idée, « bâtir un monde meilleur visant à développer la culture, la formation du citoyen du monde par l’exaltation au moyen du corps ;
- trois ressorts, « le respect », « l’amitié entre les peuples » et « la solidarité par la non- discrimination » ;
- Quatre mots formant une devise, « Citius, Altius, Fortius, Communiter » (soit Ensemble aller plus vite, plus haut, plus fort) …
Nous pouvons compléter. Les Jeux Olympiques ont :
- pour symbole « une flamme » qui pour nous maçons représente le désir suprême de produire le meilleur de soi-même au service de l’universel. L’athlète est la « Terre » et son environnement est « Eau », « Air », le « Feu » est sa passion … ce qu’il doit produire est « quintessence » !
- pour blason un « drapeau » formé de de cinq anneaux dont les couleurs sont Bleu, Jaune, Vert, Rouge, Noir. Le tout sur un fond blanc. Nos compagnons comprendrons aisément l’incidence philosophique de ces cinq cercles entrelacés. Ils représentent non seulement l’Homme dans sa complétude matérielle ou territoriale mais aussi sa dimension hautement spirituelle (Cf. le Vitruve de Leonardo da Vinci). Les couleurs ne sont pas prises dans les couleurs fondamentales de « l’Arc-en-Ciel » mais elles donnent une idée du développement du réel à partir de trois couleurs primaires (Bleu, Jaune Rouge) qui donneront d’autres couleurs importantes sur le plan symbolique : le Vert et le Noir … Il manquerait bien à l’appel une autre couleur ! Ne serait-ce pas le Violet ? Dans les Rites Égyptiens cette couleur est un Graal car en effet, elle est avec l’Indigo la couleur des êtres réalisés … donc elle symbolise l’objectif de toute humanité en lien avec sa transcendance.
- enfin un hymne : ce sera celui celui composé musicalement par Spyros Samaras en 1896 et dont les paroles sont de Kastis Palamas.
Descends ici, parais, brille comme l'éclair,
Dans la gloire de la terre et de ton ciel.
De l-acier et la dignité …
Compagnon et Maître y verront la puissance de la vibration et fonction transmutatoire de la musique et du chant pour l’âme humaine ...
Ne terminons pas ce paragraphe sans évoquer le logo même de l’USFA, orgnisme qui gère ce magnifique événement … deux cercles se chevauchant tendant à représenter une « Vesica Piscis » … l’un est rouge … l’autre est bleu … devinez le résultat de leur fusion ! … naturellement le violet, nous nous en doutions un peu.
Cela ne rappelle-t-il rien à nos frères et sœurs, franc-maçons de leur état ?
Voilà un magnifique assemblage digne d’une chevalerie universelle des plus aboutie.
Mais ... il y a loin de la coupe aux lèvres. Si les symboles sont forts, ils arrivent souvent que celles et ceux qui les utilisent transforment les idéaux qui les caractérisent en une kermesse où exultent des ambitions par trop humaines. Le ver est souvent dans le fruit.
Voici quatre exemples pour comprendre.
Le premier se situe dans la signification du nombre d’anneaux, non qu’ils soient au nombre de cinq mais par ce qu’ils représentent selon les organismes dits officiels c’est à dire les cinq régions du monde : Europe, Asie, Afrique, Amérique et Océanie.
Qui a dit que le monde était structuré, ainsi ? L’humanité s’est-elle formée de la sorte ?
N’est-elle pas diverse ? Les cultures et les populations ne sont-elles pas plus bigarrées ?
Quand les territoires déterminent des espaces il est rare que ne naissent pas des antagonismes générant discordes et rancœurs. Chaque Jeu Olympique se trouve mêlé à des contingences et antagonismes politiques, financières et culturelles et traîne, derrière lui, son cortège d’amertume.
Le second reprend l’ouverture des jeux olympiques 2024 en France où pour représenter un pays (la France), le monde entier à pu voir un étrange entre-soi « Parisien », une histoire de France exaltant nos « moments de libération » mais qui aura grand mal à convaincre le monde entier sur la qualité des fruits qui ont été produit, compte tenu de ce que notre pays est devenu.
J’y ai pu voir l’art du mensonge et de la confusion … une sorte de « faites ce que je dis mais pas ce que je fais ».
Mais allons au fait.
Pour ne pas faire de fausses interprétations je soumets au lecteur le contenu du tableau « Festivité » présenté dans « wikipedia » :
« Sorti d'une cloche de restaurant géante, le chanteur et acteur Philippe Katerine fait son apparition,
quasiment dénudé et entièrement grimé en Dionysos, le corps peint en bleu-argent pailleté et la
barbe safran, dieu antique de la vigne - « l'un des joyaux de la France » -, de la fête, de la folie et du théâtre, et, selon Thomas Jolly, père de Sequana, déesse gauloise de la Seine, pour interpréter Nu, son ode à la paix, à demi-allongé derrière un assortiment de fromages, sur un plateau de fruits et fleurs colorés, disposé en offrande au centre d'une longue table de banquet réunissant différents personnages bigarrés dont la DJ Barbara Butch à la tête ceinte d'une couronne d'Hélios, d'icône sainte ou de statue de la Liberté, trônant devant sa console de mixage, et nombre de drag queens, un temps figés derrière lui. D'aucuns interprètent ce tableau comme une référence à La Cène de Léonard de Vinci, représentation picturale de la Cène où Jésus est entouré de ses disciples ou au Festin des dieux de Jan van Bijlert, sur lequel Apollon couronné joue de la lyre au centre de la table ainsi que Bacchus au premier plan. À la fin de sa prestation, Katerine remet le son. »
A la lumière de ce que l’on a écrit sur le symbolisme et son opérativité entre les mains des compagnons et des maîtres analysons ce qui suit.
Pourquoi « Festivité » ? est-ce une caractéristique des jeux olympiques ? Tout événement peut être festif si on souhaite le programmer comme tel …
Pourquoi dans ce cas convoquer « Dionysos » dans ce spectacle ?
La réponse est : pourquoi pas ?
Dans ce cas, pourquoi en retenir l’aspect Dionysiaque le plus dégradé. Les Écoles des mystères associées à Dionysos n’étaient pas de cette nature à l’origine. Elles ont été perverties en fin de vie de leurs pratiques comme toute création humaine. Il en est de même des mystères d’Éleusis, d’ailleurs pour les mêmes raisons.
Les mystères de Dionysos concernent, naturellement la Grèce antique mais aussi la Celtie et la Palestine. Dans la mythologie grecque Dionysos est le fils de Zeus et de Sémélée, magnifique princesse Thébaine. Elle en mourut …
Une petite analyse linguistique va nous éclairer. Dionysos est formé de Dios (dérivé de Zoos) qui désigne « la vie-principe universelle et de « Nu » ou « Nûn », le temps qui passe dans l’action, ce temps cosmique venu des « premiers temps » comme le stipulait l’ancienne Égypte. De même « Sémélée » est un nom d’origine celto-hébraïque dont la racine est « Shem » que l’on retrouve dans « shemesh », le Soleil ! A l’instar des mystères d’Éleusis dans les montagnes de Thrace ils faisaient vivre à leurs adeptes la force générative de la végétation qui …. ne meurt jamais et notamment « de ce qui demeure » lorsque toute matérialité a disparu. Cette notion se retrouve dans les fêtes du solstice d’hiver. La végétation va réactiver la graine et la semence. Lesquelles déclencheront l’activité tissulaire jusqu’à maturité et, enfin, pour produire un fruit ou une progéniture.
Dans d’autres sensibilités spirituelles nous retrouverons le symbole de l’opposition-complémentarité que constitue le principe de « radiation vivifiante », le « Yin » et le principe des « ténèbres régénératrices », le « Yang ». Ces cycles étaient connus de la Grèce antique qui avait constaté que la vigne dans son aspect « matériel » et « spirituel » était un symbole le plus parfait pour s’approcher de la partie de la vie, la plus intime. Les Grecs se sont attachés à ce « sang » de la vigne particulier qu’est le vin.
Qui parmi les francs-maçons n’a jamais eu comme sujet de méditation le vin ?
Et ce n’est pas sans raison que, là encore, de nombreuses formations spirituelles cèdent à des rituels de « communion » se traduisant par le partage d’un pain rond (symbole du soleil : Unité – Soleil - Univers) et et d’une coupe ronde, elle aussi, rempli de vin, dans laquelle chacun et chacune buvait une gorgée, puis la passait à son voisin le plus proche.
Approfondissons, encore.
Cette notion de « spirituel » en lien avec le terme « spiritueux, racine de l’esprit » évoque le classement que les savants arabes firent de ce constat : « AL-Kool ».
Ce terme se traduirait par « ce qui permet d’assimiler ou de s’assimiler » (Kool) au « sublime » (AL – Allah).
Georges Osario, dans « la lumière de l’éternité », explique que le sang étant le tissu liquide indispensable à la vie bio-physio-logique, les initiés antiques virent dans la fermentation (des raisins) aboutissant à « l’esprit-alcool » tout le travail que le sang d’un humain devait accomplir durant son passage sur notre planète « Terre » pour devenir Esprit et sortir, ainsi, de sa nature « hématique ».
Nous pouvons constater que la tableau « Festivité » est loin d’inspirer le monde sur cette subtile leçon de philosophie et de méta-physiqque.
Le mythe de Dionysos dans sa phase de profonde réflexion initiatique nous enjoignait à nous rappeler ses sept caractéristiques :
l’idée de mutation permanente des êtres et des choses selon le temps et les circonstances,
la relativité dans les comportements des êtres animés,
qu’il y a des aveugles qui voient, des sourds qui entendent mais qu’il y a beaucoup d’êtres qui voient et qui entendent avec leurs organes physiques mais qui demeurent aveugles et sourds à leur voix intérieures,
que les êtres et les choses visibles et invisibles de l’univers forment un tout,
que lorsque la matière est détruite, éparpillée voire désintégrée, quelque chose demeure et ne meurt jamais,
enfin le peuple grec était bien trop avancé pour méconnaître les deux effets du vin, l’un dégradant et laid, l’autre délicieux et euphorique. Il savait que que ce liquide à double effet leur montrait du doigt les deux faces d’une même médailles.
Voici la pureté primitive de ce mystère dionysiaque.
« Glorification de la fertilité et de la fécondité de la terre nourricière et particulièrement la victoire de la vie sur le sommeil de la mort ».
Nous sommes à l’évidence loin des leçons que donnèrent ce mythe dans sa phase primitive. Les sociétés modernes occidentales représentées, ici, par la France, elles- mêmes décadentes, ont retenu sa phase prévaricative.
L’ouverture de ces jeux olympiques 2024 en est un exemple : le tableau associé aux « festivités » était particulièrement genré, souhaitant nous faire passer je ne sais quel message ! Message inutile, pointant une population en souffrance pour beaucoup et focalisant les projecteurs sur une minorité à la recherche d’une brillance juste médiatique.
Faut-il rappeler comme le fait Eric-Emanuel Schmitt que les concepts d’homosexualité, d’hétérosexualité, de bisexualité forgé au 19ème siècle n’avait aucune pertinence dans la Grèce antique et encore moins la « trans-genrité ». Sappho n’est jamais présentée comme une « lesbienne » mais seulement comme une citoyenne native de Lesbos.
La puissance de l’image qui rencontre l’imaginaire des hommes et des femmes forgés par des croyances héréditaires est incroyablement choquante et destructrice quand un cadrage approprié et un lent travelling permet pendant quelque seconde une confusion visuelle avec la « scène christique » … alors que la découverte des personnages présents nous projettent fort loin des symboles et du mythe qui sont sensés enseigner la nature profonde de l’humanité.
Le troisième concerne le dixième tableau « Solidarité ».
Ici, encore, qu’en dit la version officielle via « Wikipédia » :
« Le dixième tableau, Solidarité, met en scène une mystérieuse cavalière vêtue d'une armure d'argent brillant portant en cape le drapeau olympique et montée sur un cheval métallique, galopant longuement sur le fleuve parisien devenu noir sur lequel se reflètent des lumières de la cérémonie, et censée propager l'esprit de l'Olympisme dans la ville, empreint d'amitié et de solidarité, « invitant le monde à se réunir dans son sillage ».
Dans sa course, l'écuyère d'argent fait se déployer au-dessus de la Seine d'immenses ailes de colombe, symbole antique de paix entre les Nations durant la trêve olympique. Cette cavalière masquée est interprétée par Morgane Suquart cofondatrice de MM Process, la société conceptrice du « trimaran motorisé » qui transporte le cheval d'argent mécanique créé par l’atelier de design Atelier Blam à Nantes. L'armure de cette écuyère est conçue par la styliste Jeanne Friot, sur commande du directeur artistique Thomas Jolly, en hommage à Jeanne d'Arc. Il s’agit aussi de l’incarnation de Sequana, déesse de la Seine et symbole de résistance. Une allusion à Pierre de Coubertin, à la re-création des Jeux olympiques décidée à la Sorbonne en 1892 et à l'histoire des Jeux est faite en même temps, par la diffusion de nombreuses images d'archives des différentes éditions olympiques internationales. »
Pour ma part, j’ai trouvé intelligent ce montage d’une chevalerie domestiquant les éléments pour faire exulter le Graal Olympique. Sans doute suis-je trop idéaliste. Mais le monde moderne est-il exclu de la création de symbole fort ?
Seuls les peuples antiques seraient-ils devenus les maîtres absolus en la matière ?
Non, bien sûr et, là, je concède que cette scène aurait bien pu être une sorte de fusion entre la science et la spiritualité avec une invitation à des actions de type chevaleresque.
Mais, voici que cette cavalière transportant le drapeau olympique est devenue, pour certain, un chevalier de l’apocalypse de saint Jean.
Le cheval, « dit argenté » dans le texte, a pu être, alors, perçu comme blanc (Conquêtes – Destruction), pâle (c’est à dire vert, donc symbolisant la Mort) ou noir (Famine – Carnage).
Le quatrième cheval dans les textes de l’apocalypse est rouge signifiant la Guerre).
Les chrétiens qui ont souligné une telle déconvenue auraient pu se souvenir que sont apparus, après leur « mission » purificatrice, « les quatre vivants » représentés par un lion, un jeune taureau, un visage d’homme et un aigle … chacun d’entre-eux symbolisant un évangéliste (Le Taureau pour Luc, l’Homme pour Mathieu, le Lion pour Marc et l’Aigle pour Jean).
Las ! Quelques mots prononcés par les commentateurs auraient pu faire savoir au spectateur la véritable signification que recelait ce tableau, faute de conscience en la puissance du symbole l’on assista à un « flop » de cet art créatif au service d’un message universel.
En lisant le texte explicatif de Wikipédia, je n’y vois, en fait, qu’une carte de visite des marchands du temple olympique Français.
Quand les créations artistiques sont dépourvues de connaissance en matière de fonctionnement de la psyché humaine, il y a de grandes chances d’arriver à un résultat contraire que celui souhaité.
Le quatrième exemple concerne la clôture des Jeux Olympiques
Cette scène donne un vision étrange de territoire réduit à néant où un peuple zombi se voit libéré par un personnage d’or étincelant, venu d’un autre monde. Sans explication du système médiatique, la confusion s’installa. Elle évoqua, pour les adeptes de l’ancien et nouveau testament, la chute de « Lucifer » et sa funeste ambition!
On comprend, alors, la confusion mentale qui a pu en découler …
Conclusion, temporaire, comme toujours :
Le symbolisme et la mythologie à laquelle il est souvent lié est magie car ils parlent à l’âme des peuples, ils informent les êtres sur leur réalité profonde, ils transforment et transmutent tout vivant doté de conscience. Ils sont des outils et des véhicules d’une puissance phénoménale s’emparant de tous les mécanismes de la pensée.
Alors, attention, aux magiciens de peu de conscience. Attention aux apprentis sorciers pour qui les spirales toxiques sont légions. Attention aux magiciens connaissant et conscients ils peuvent mener l’humanité vers des espaces-temps les moins propices à une harmonie génératrice de bonheur au service du vivant.
Attention, aussi, aux magiciens inspirés, connaissant qui par leur ouverture de conscience tirent l’humanité toute entière vers son potentiel de développement le plus haut. Ceux-là sont, sans doute, appropriés et réalisent une alchimie utile à l’évolution de l’humanité.
La conséquence que cela impose à l’homme est la nécessité de prendre en charge son propre éveil et maîtriser tous les outils d’appréciation de ce qu’ils vivent, ici, et maintenant, afin d’effectuer le bon choix et de se protéger des choix moins … pertinents
Gérard Baudou Platon,
Simbolismo y Juegos Olímpicos
¿Podría haber un vínculo? A primera vista, no necesariamente, ya que los Juegos Olímpicos tal como los practicamos en nuestro siglo se han convertido más en espacios donde los mercaderes del templo de la Olimpia moderna buscan fortuna, pero también en manifestaciones que promueven pensamientos más políticos que deportivos. Los medios compiten con audacia en la composición del cuadro de medallas, se cuestionan sobre la vida y las hazañas de los atletas, mientras que las áreas de fanáticos explotan de júbilo...
¿Quieres controlar al pueblo? ¿Es urgente no actuar o actuar sin necesidad de justificar?
¡Dale juegos!
Sin embargo, el vínculo entre el simbolismo y los Juegos Olímpicos no parece carecer de interés e, incluso, podría ser de una operatividad particularmente eficaz.
¿Eficaz, de verdad? La pregunta no se plantea para nosotros, los iniciados, quienes pensamos que los símbolos son consustanciales a la naturaleza del ser humano. Desde entonces, son muy útiles para operar aperturas e incluso cierres de la conciencia.
Examinemos esto a la luz de las enseñanzas que la alta filosofía masónica revela.
Se dice que la francmasonería es, de manera un tanto abreviada, occidental. Es decir, que toma sus raíces en los terrenos judeocristianos, abarcando el Medio Oriente, luego Europa, y luego... el "Gran Occidente", incluyendo África debido a la "colonización ."
Desde los descubrimientos napoleónicos, es posible afirmar que la francmasonería ha ampliado su campo de investigación, ya que el contacto con el espacio-tiempo de la
antigua Egipto le ha permitido sumergirse aún más en las fuentes de la humanidad. La
francmasonería se vuelve de facto universal. Cuando rechaza esta apertura, se
esclerotiza. Quien no se abre, se extingue.
¿Es la francmasonería una herramienta de transformación de la sociedad? Sí… ¿Es una
escuela de los misterios de la vida? Sí… ¿Es un lugar donde los hombres y mujeres que
son miembros pueden adquirir herramientas de acceso al conocimiento? ¡Otra vez, sí!
¿Lleva en su seno aptitudes, excelencias operativas? Sí.
Los compañeros, los verdaderos, aquellos que, de acuerdo con su ritual de elevación a
ese grado, se vuelven conocedores de las siete artes reales... saben que el "Verbo crea",
que la realidad es "Matemática", que la "vibración es fundadora" y, finalmente, que nadie
existe si la "relación Tierra-Cielo" no está sintonizada.
Los Maestros saben que ningún conocimiento puede formarse sin la iniciación y que solo
el simbolismo o la alegoría les asegura una posibilidad real de comprensión del mundo en
el que viven y actúan… esto, en conexión con lo que los trasciende.
Estudios científicos muestran que, independientemente de nuestras creencias: ateos,
judíos, cristianos, musulmanes, budistas, hinduistas, inspiraciones amerindias, o
pertenecientes a culturas de civilizaciones antiguas... todos pasamos por los mismos
arcanos cuando se requiere la restitución de nuestros cuerpos, y especialmente el extraño
descubrimiento de que una parte de nosotros es… ¡inmortal! Es por eso que los ritos
egipcios nos enseñan que tenemos, al menos, una obligación: "Aprender a Morir".
Además, hablando de nuestra vida aquí y ahora, la búsqueda de nuestra naturaleza
andrógina sería garantía de una realización perfecta de uno mismo. La racionalidad, la
retórica y la lógica son muy útiles en un mundo materialista, pero insuficientes para
hablarnos de lo que realmente nos articula.
El "Muy Sublime Hermano" Sébastiano Caracciolo, en su libro sobre "La ciencia
hermética", formula esta idea: “Para rectificar el pensamiento racional en pensamiento
tradicional, no basta con usar el método tradicional, también es necesario vivir la tradición
que se expresa a través de los mitos, los símbolos, las alegorías… sub specie interioritas,
para buscar y comprender los arquetipos que se esconden en ella. Aquí, es necesario
meditar sobre cada símbolo y cada mito, hasta que revelen el misterio que encierran, y se
iniciará una transformación en nuestra conciencia".
Cuidado con aquellos que tergiversan los símbolos y los mitos, deben saber que tocan las profundidades del ser y causan modificaciones en las conciencias individuales y colectivas. Los compañeros de los Ritos Egipcios lo intuyen, los maestros lo comprenden, de tal manera que en su recorrido final deben enfrentar los nudos que forman la columna vertebral de su existencia más íntima. Esa es, sin duda, la vocación de los Arcanos y del Arcana Arcanorum (el arcano de los arcanos). El primer grado de los cuatro que constituyen esta “escuela de misterios” particular, atrae nuestra atención sobre tres puntos clave.
El conocimiento del “animal social y espiritual” que somos, independientemente de nuestras creencias, descansa en la maestría de nuestra bio-fisio-logía, en el dominio de nuestro aliento vital, y finalmente, en el control de nuestra imaginación.
Tres pilares que sostienen el alma humana y su capacidad para mantenernos vivos en un campo de conciencia que suponemos universal. Sobre todo, un campo de conciencia capaz de concebir la vida como un vínculo respetuoso con los estados de conciencia de cada individuo. Cada estado de conciencia individualizado transporta a cada ser a un espacio-tiempo de fraternidad y armonía.
La doctoranda Sophie Moreaux-Carré nos habla de nuestro Muy Querido Hermano Carl Gustav Jung, escribiendo lo siguiente:
“Jung refuerza los estudios empíricos de la psicología mediante una introspección filosófica sobre lo que son el imaginario y el simbolismo. El inconsciente colectivo, constituido por imágenes primordiales, refleja la estructura de la psique del hombre moderno.
El estudio de los sueños, los conocimientos antropológicos o mitológicos, la hermenéutica explican el lenguaje figurativo de los pensamientos del alma y contribuyen a la elaboración de una filosofía del imaginario. Las figuras míticas de la alquimia iluminan el funcionamiento de la imaginación activa y expresan el proceso de individuación occidental. Si la confrontación con la sombra es el reconocimiento de la existencia de los contenidos oscuros o inferiores del conjunto de la personalidad del yo, la relación dialéctica también conduce al encuentro con otras imágenes arquetípicas. Inconscientemente, el adepto se enfrenta a la sincronicidad, a una metafísica de los tipos psicológicos, a la función religiosa, al arte...
Pero la introspección puede ir más allá y crear una nueva síntesis de la personalidad que reúna los contrarios en una unidad metafísica. El interés de la filosofía por el pensamiento junguiano se justifica por la originalidad de su enfoque de los conceptos. Su teoría, regida por la idea de que el objetivo de la vida es la realización consciente del sí-mismo, ofrece a la filosofía una auténtica reflexión ontológica”.
También debemos recordar, en este tema, los registros lacanianos de la experiencia analítica: “lo Real”, “lo Simbólico” y “lo Imaginario”.
Así pues, se han sentado las bases de nuestra reflexión… pero me dirán: ¿qué relación tiene esto con el mundo de los Juegos Olímpicos?
Según los historiadores de la Grecia antigua, los Juegos Olímpicos fueron creados según dos leyendas:
Ya sea por Hércules, el semidiós de los primeros tiempos. Se dice que organizó tales juegos basados en el rendimiento físico para agradar al Dios de los Dioses, Zeus, tras regresar de una expedición victoriosa contra el rey Augías de Élide.
O bien por el propio Zeus, en memoria de su lucha victoriosa contra Cronos para acceder al trono de Olimpia.
Los Juegos Olímpicos habrían perdurado durante casi doce siglos. ¡Una longevidad excepcional en la historia de la humanidad! Hubo que esperar hasta el año 394 para que el emperador cristiano Teodosio decidiera prohibir de manera drástica lo que consideraba celebraciones paganas. Sabemos que la iglesia tenía experiencia en materia de represión. Pero ese no es el tema. En aquel tiempo, la iglesia desarrolló acciones particularmente hostiles hacia todo lo relacionado con el cuerpo y la carne...
Los Juegos Olímpicos modernos fueron “revividos” por Pierre de Coubertin en 1894. Los primeros juegos tuvieron lugar en Atenas en 1896.
Ya que hablamos de simbolismo, del cual sabemos ahora que no podemos aislar ni de lo real ni de lo imaginario, y por tanto tampoco del mito, reunamos los elementos que pueden caracterizar los juegos modernos:
En primer lugar, una idea: “construir un mundo mejor con el objetivo de desarrollar la cultura y la formación del ciudadano del mundo a través de la exaltación del cuerpo”.
Tres pilares: “el respeto”, “la amistad entre los pueblos” y “la solidaridad mediante la no discriminación”.
Cuatro palabras que forman un lema: “Citius, Altius, Fortius, Communiter” (es decir, Juntos, más rápido, más alto, más fuerte). Podemos añadir más. Los Juegos Olímpicos tienen:
Como símbolo, “una llama”, que para nosotros, los masones, representa el deseo supremo de producir lo mejor de uno mismo al servicio de lo universal. El atleta es la “Tierra” y su entorno es “Agua”, “Aire”, mientras que el “Fuego” es su pasión... lo que debe producir es la “quintessencia” (quintaesencia).
Para su emblema, un “estandarte” formado por cinco anillos cuyas colores son azul, amarillo, verde, rojo y negro, todo sobre un fondo blanco. Nuestros compañeros comprenderán fácilmente la incidencia filosófica de estos cinco círculos entrelazados. Representan no solo al Hombre en su totalidad material o territorial, sino también su dimensión altamente espiritual (Cf. el Vitruvio de Leonardo da Vinci). Los colores no provienen de los colores fundamentales del "Arco Iris", pero nos dan una idea del desarrollo de lo real a partir de tres colores primarios (azul, amarillo y rojo), que generan otros colores importantes en el plano simbólico: el verde y el negro.
¿Falta acaso otro color? ¿No sería el violeta?
En los Ritos Egipcios, este color es un Grial, ya que, junto con el índigo, es el color de los seres realizados... por lo tanto, simboliza el objetivo de toda la humanidad en conexión con su trascendencia.
Finalmente, un himno: el compuesto musicalmente por Spyros Samaras en 1896, cuyas letras son de Kostis Palamas.
Desciende aquí, aparece, brilla como un rayo, en la gloria de la tierra y de tu cielo.
Del acero y la dignidad..
Compañeros y Maestros verán allí la potencia de la vibración y la función transmutadora de la música y el canto para el alma humana...
No terminemos este párrafo sin mencionar el logotipo de la USFA, organismo que gestiona este magnífico evento... dos círculos superpuestos que tienden a representar una “Vesica Piscis”... uno es rojo, el otro es azul... ¿adivinan el resultado de su fusión?
¡Naturalmente, el violeta! Nos lo imaginábamos.
¿No les recuerda esto algo a nuestros hermanos y hermanas, francmasones de su condición? He aquí un magnífico conjunto digno de una caballería universal de las más avanzadas.
Pero... hay mucho trecho entre el dicho y el hecho. Si bien los símbolos son poderosos, a menudo sucede que quienes los utilizan transforman los ideales que los caracterizan en una feria donde exultan ambiciones demasiado humanas. El gusano suele estar en la fruta.
He aquí cuatro ejemplos para comprender.
El primero se encuentra en el significado del número de anillos, no en que sean cinco, sino en lo que representan según los organismos llamados oficiales, es decir, las cinco regiones del mundo: Europa, Asia, África, América y Oceanía.
¿Quién dijo que el mundo estaba estructurado así? ¿Acaso la humanidad se ha formado de esa manera? ¿No es diversa? ¿Las culturas y las poblaciones no son más variadas?
Cuando los territorios determinan los espacios, es raro que no surjan antagonismos que generen discordias y resentimientos. Cada Juego Olímpico se ve envuelto en contingencias y antagonismos políticos, financieros y culturales, arrastrando consigo un cortejo de amargura.
El segundo ejemplo retoma la apertura de los Juegos Olímpicos de 2024 en Francia, donde para representar un país (Francia), el mundo entero pudo ver un extraño círculo cerrado parisino, una historia de Francia exaltando nuestros “momentos de liberación”, pero que tendrá dificultades para convencer al mundo entero sobre la calidad de los frutos que se han producido, dados los actuales desafíos de nuestro país.
Pude ver allí el arte del engaño y la confusión... una suerte de "haz lo que digo, pero no lo que hago".
Vayamos al grano. Para evitar malinterpretaciones, someto al lector el contenido del cuadro & Festividad presentado en Wikipedia : "Saliendo de una campana de restaurante gigante, el cantante y actor Philippe Katerine aparece, casi desnudo y completamente disfrazado de Dionisio, con el cuerpo pintado de azul-plata brillante y la barba azafrán, dios antiguo de la vid – 'una de las joyas de Francia' –, de la fiesta, la locura y el teatro, y, según Thomas Jolly, padre de Sequana, diosa gala del Sena, para interpretar Nu, su oda a la paz, medio recostado detrás de un surtido de quesos, en un plato de frutas y flores coloridas, dispuestas como ofrenda en el centro de una larga mesa de banquete que reúne a varios personajes variopintos, entre ellos la DJ Barbara Butch con una corona de Helios, ícono sagrado o la estatua de la Libertad, presidiendo su consola de mezclas, y varias drag queens, un momento congeladas detrás de él. Algunos interpretan este cuadro como una referencia a La Última Cena de Leonardo da Vinci, representación pictórica de la cena donde Jesús está rodeado de sus discípulos, o al Banquete de los dioses de Jan van Bijlert, en el que Apolo, coronado, toca la lira en el centro de la mesa, junto a Baco en primer plano. Al final de su actuación, Katerine vuelve a poner la música."
A la luz de lo que hemos escrito sobre el simbolismo y su operatividad en manos de los compañeros y maestros, analicemos lo siguiente.
¿Por qué "Festividad"? ¿Es una característica de los Juegos Olímpicos? Todo evento puede ser festivo si se programa como tal…
Entonces, ¿por qué convocar a "Dionisio" en este espectáculo?
La respuesta es: ¿por qué no?
En ese caso, ¿por qué resaltar el aspecto más degradado de lo dionisíaco? Las Escuelas de Misterios asociadas a Dionisio no eran de esta naturaleza en su origen. Fueron pervertidas hacia el final de sus prácticas, como toda creación humana. Lo mismo ocurrió con los misterios de Eleusis, y por las mismas razones.
Los misterios de Dionisio conciernen, naturalmente, a la antigua Grecia, pero también a la Celtia y a Palestina. En la mitología griega, Dionisio es el hijo de Zeus y Sémele, una magnífica princesa tebana.
Ella murió por ello…
Un pequeño análisis lingüístico nos aclarará. Dionisio proviene de "Dios" (derivado de Zoos ), que designa el principio de la vida universal, y de "Nu" o "Nûn", que se refiere al tiempo que fluye en la acción, ese tiempo cósmico que proviene de los primeros tiempos como lo estipulaba el antiguo Egipto. Asimismo, "Sémele" es un nombre de origen celto-hebraico cuya raíz es "Shem", que encontramos en "Shemesh", el Sol.
Al igual que los misterios de Eleusis, en las montañas de Tracia, hacían vivir a sus adeptos la fuerza generativa de la vegetación que… nunca muere, en particular lo que perdura cuando toda materialidad ha desaparecido. Esta noción se encuentra en las festividades del solsticio de invierno, cuando la vegetación reactiva la semilla y el germen, que desencadenan la actividad celular hasta la madurez, y finalmente, para producir un fruto o una progenie. En otras sensibilidades espirituales, encontramos el símbolo de la oposición-complementariedad del principio de "radiación vivificante", el "Yin", y el principio de "tinieblas regeneradoras", el "Yang". Estos ciclos eran conocidos en la antigua Grecia, que observó que la vid, en su aspecto "material" y "espiritual", era el símbolo más perfecto para acercarse a la parte más íntima de la vida. Los griegos se aferraron a esa "sangre" particular de la vid que es el vino.
¿Quién entre los francmasones no ha tenido alguna vez el vino como tema demeditación?
Y no es sin razón que, una vez más, muchas formaciones espirituales recurren a rituales de "comunión" que se traducen en el reparto de un pan redondo (símbolo del sol: Unidad - Sol - Universo) y de una copa redonda, también, llena de vino, de la cual cada uno toma un sorbo y luego la pasa al vecino más cercano. Profundicemos aún más.
Esta noción de "espiritual" en relación con el término "espirituoso", raíz de "espíritu", evoca la clasificación que los sabios árabes hicieron de este concepto: "Al-Kool". Este término se traduciría como "lo que permite asimilar o ser asimilado" ("Kool") con lo "sublime" ("Al" – Alá).
Georges Osario, en La Luz de la Eternidad, explica que, siendo la sangre el tejido líquido indispensable para la vida bio-fisio-lógica, los iniciados antiguos vieron en la fermentación
(de las uvas) que conducía al "espíritu-alcohol", todo el trabajo que la sangre de un ser
humano debía realizar durante su paso por nuestro planeta "Tierra" para convertirse en
Espíritu y así salir de su naturaleza "hemática".
Podemos ver que el cuadro "Festividad" está muy lejos de inspirar al mundo sobre esta
sutil lección de filosofía y metafísica.
El mito de Dionisio, en su fase de profunda reflexión iniciática, nos invita a recordar sus
siete características:
La idea de la mutación permanente de los seres y las cosas según el tiempo y las
circunstancias.
La relatividad en los comportamientos de los seres animados.
Que hay ciegos que ven, sordos que oyen, pero que hay muchos seres que ven y
oyen con sus órganos físicos, pero que siguen siendo ciegos y sordos a su voz
interior.
Que los seres y las cosas visibles e invisibles del universo forman un todo.
Que cuando la materia es destruida, dispersa o desintegrada, algo permanece y
nunca muere.
Finalmente, el pueblo griego era demasiado avanzado como para desconocer los
dos efectos del vino, uno degradante y feo, y el otro delicioso y eufórico. Sabían
que este líquido de doble efecto les señalaba las dos caras de la misma moneda.
Esta es la pureza primitiva de este misterio dionisíaco:
"Glorificación de la fertilidad y fecundidad de la tierra nutricia y, en particular, la
victoria de la vida sobre el letargo de la muerte".
Claramente, estamos lejos de las lecciones que este mito enseñó en su fase primitiva. Las
sociedades modernas occidentales, representadas aquí por Francia, decadentes por sí
mismas, han retenido su fase más corrupta. La apertura de los Juegos Olímpicos de 2024
es un ejemplo. El cuadro asociado a las "festividades" era particularmente sesgado,
tratando de transmitir no sé qué mensaje. ¡Un mensaje inútil, que pone el foco en una
población que sufre mucho y dirige los reflectores hacia una minoría en busca de un brillo
meramente mediático!
Es necesario recordar, como lo hace Éric-Emmanuel Schmitt, que los conceptos de
homosexualidad, heterosexualidad y bisexualidad, forjados en el siglo XIX, no tenían
ninguna relevancia en la antigua Grecia, y mucho menos la "transgeneridad". Safo nunca
es presentada como "lesbiana", sino simplemente como una ciudadana nacida en Lesbos.
La potencia de la imagen, que se encuentra con el imaginario de hombres y mujeres
forjados por creencias heredadas, es increíblemente chocante y destructiva cuando un
encuadre apropiado y un lento desplazamiento visual permiten, por algunos segundos,
una confusión visual con la "escena crística"… para luego descubrir personajes que nos
proyectan muy lejos de los símbolos y el mito que deberían enseñar la naturaleza
profunda de la humanidad.
El tercer punto concierne al décimo cuadro Solidaridad.
De nuevo, ¿qué dice la versión oficial a través de Wikipedia ?
"El décimo cuadro, Solidaridad, presenta a una misteriosa jinete vestida con una armadura plateada brillante, que lleva como capa la bandera olímpica y cabalga sobre un caballo metálico, galopando largamente sobre el río parisino, ahora oscuro, sobre el cual se reflejan las luces de la ceremonia, supuestamente propagando el espíritu del Olimpismo en la ciudad, impregnado de amistad y solidaridad, 'invitando al mundo a reunirse en su estela'. En su carrera, la jinete plateada hace que se desplieguen sobre el Sena unas inmensas alas de paloma, antiguo símbolo de paz entre las naciones durante la tregua olímpica. Esta jinete enmascarada es interpretada por Morgane Suquart, cofundadora de MM Process, la empresa diseñadora del "trimarán motorizado" que transporta al caballo de plata mecánico, creado por el taller de diseño Atelier Blam en Nantes. La armadura de esta jinete fue diseñada por la estilista Jeanne Friot, por encargo del director artístico Thomas Jolly, en homenaje a Juana de Arco. También se trata de la encarnación de Sequana, diosa del Sena y símbolo de resistencia. Al mismo tiempo, se hace una alusión a Pierre de Coubertin, a la recreación de los Juegos Olímpicos decidida en la Sorbona en 1892, y a la historia de los Juegos mediante la difusión de numerosas imágenes de archivo de las distintas ediciones olímpicas internacionales."
Por mi parte, encontré inteligente este montaje de una caballería que domestica los elementos para hacer exultar el Grial Olímpico.
Quizás soy demasiado idealista. Pero, ¿está el mundo moderno excluido de la creación de símbolos poderosos?
¿Serían solo los pueblos antiguos los que se habrían convertido en los maestros absolutos en esta materia?
No, por supuesto, y aquí concedo que esta escena podría haber sido una especie de fusión entre la ciencia y la espiritualidad, con una invitación a acciones de tipo caballeresco.
Sin embargo, esta jinete que transporta la bandera olímpica se ha convertido, para algunos, en una suerte de caballero del Apocalipsis de San Juan.
El caballo, descrito como "plateado" en el texto, pudo ser percibido como blanco
(Conquistas – Destrucción), pálido (es decir, verde, simbolizando la Muerte) o negro (Hambre – Carnicería). El cuarto caballo, en los textos del Apocalipsis, es rojo, lo que significa Guerra.
purificadora, aparecieron "los cuatro seres vivientes" representados por un león, un joven toro, un rostro humano y un águila… cada uno de ellos simbolizando a un evangelista (el Toro para Lucas, el Hombre para Mateo, el León para Marcos y el Águila para Juan).
¡Ay! Unas pocas palabras pronunciadas por los comentaristas habrían podido revelar al espectador el verdadero significado que encerraba este cuadro.
A falta de consciencia sobre el poder del símbolo, se asistió a un "fracaso" de este arte creativo que debería haber estado al servicio de un mensaje universal.
Al leer el texto explicativo de Wikipedia, en realidad no veo más que una tarjeta de presentación de los mercaderes del templo olímpico francés.
Cuando las creaciones artísticas carecen de conocimiento sobre el funcionamiento de la psique humana, hay grandes posibilidades de llegar a un resultado opuesto al deseado.
El cuarto ejemplo se refiere a la clausura de los Juegos Olímpicos.
Esta escena presenta una visión extraña de un territorio reducido a la nada, donde un pueblo zombi es liberado por un personaje dorado y resplandeciente, llegado de otro mundo. Sin explicación por parte del sistema mediático, la confusión se instaló. Para los adeptos del Antiguo y Nuevo Testamento, evocó la caída de "Lucifer" y su funesta ambición.
Se entiende, entonces, la confusión mental que pudo haber surgido de ello...
Conclusión, temporal, como siempre:
El simbolismo y la mitología, a la que a menudo está ligado, es magia, porque hablan al alma de los pueblos, informan a los seres sobre su realidad profunda, transforman y transmutan a todo ser vivo dotado de consciencia. Son herramientas y vehículos de un poder fenomenal que se apodera de todos los mecanismos del pensamiento.
Por lo tanto, cuidado con los magos de poca consciencia. Cuidado con los aprendices de brujo, para quienes las espirales tóxicas abundan. Cuidado con los magos conocedores y conscientes, porque pueden llevar a la humanidad hacia espacios-tiempo menos propicios a una armonía generadora de felicidad al servicio de la vida.
Cuidado, también, con los magos inspirados y conocedores que, gracias a su apertura de consciencia, elevan a toda la humanidad hacia su mayor potencial de desarrollo. Estos, sin duda, son los más adecuados y realizan una alquimia útil para la evolución de la humanidad.
La consecuencia que esto impone al ser humano es la necesidad de encargarse de su propio despertar y dominar todas las herramientas de apreciación de lo que vive, aquí y ahora, para tomar la decisión correcta y protegerse de las elecciones menos... pertinentes.
Gérard Baudou Platon,
Symbolism and the Olympic Games
Could there be a link? At first glance, not necessarily, as the Olympic Games, as we practice them in our century, have become more a marketplace where the merchants of the modern Olympia seek fortune, and also events that promote political ideas more than athletic ones. The media boldly joust over the medal table composition, discussing the lives and performances of athletes while the fan zones burst with jubilation…
Do you want to control the people? Is it urgent to either refrain from action or act without having to justify it? Give them games…
However, the link between Symbolism and the Olympic Games does not seem devoid of interest and, in fact, could be of particularly effective operativity.
Effective, really? The question does not arise for us initiates, who believe that symbols are consubstantial to the nature of man. From that point, they are highly useful for opening, and sometimes closing, the doors of consciousness.
Let us examine this in the light of the teachings that high Masonic philosophy reveals.
Freemasonry is, it is often said in simplified terms, Western. This means that it takes its roots from the Judeo-Christian traditions covering the Middle East, then Europe, and then… the “Greater West,” including Africa due to “colonization.” Since the Napoleonic discoveries, it is possible to say that Freemasonry has greatly expanded its field of investigation, as contact with the space-time of Ancient Egypt allowed it to delve even deeper into the sources of humanity. Freemasonry thus becomes de facto universal.
When it refuses this openness, it becomes sclerotic. Those who do not open themselves
up will wither away.
Is Freemasonry a tool for societal transformation? Yes...
Is it a school where the mysteries of life are explored? Yes...
Is it a place where men and women who are members can acquire tools for accessing knowledge? Again, yes!
Does it carry within it operative aptitudes, excellences? Yes.
The true Companions, those who, in accordance with their elevation ritual, become knowledgeable in the seven royal arts… know that the Word creates, that reality is Mathematical, that vibration is foundational,and, finally, that no one exists if the Earth-Sky relationship is not attuned.
Masters know that no knowledge can be formed without initiation and that only symbolism or allegory provides a real possibility of understanding the world in which they live and act… this, in connection with that which transcends them.
Scientific studies show that, whatever our beliefs—atheist, Jewish, Christian, Muslim, Buddhist, Hindu, inspired by Amerindian traditions, or stemming from the cultures of ancient civilizations—we all pass through the same arcana when the restitution of our bodies is required, and particularly the st
That is why the Egyptian rites inform us that we have, at the very least, one obligation: Learn to Die.
Additionally, speaking of our life here and now, the search for our androgynous nature would guarantee a perfect realization of the self. Rationality, rhetoric, and logic are very useful in a materialistic world but are insufficient to speak to us about what truly shapes us.
The "Most Sublime Brother" Sebastiano Caracciolo, in his book on Hermetic Science, expresses the idea that “to rectify rational thought into traditional thought, it is not enough to use the traditional method; one must also live the tradition, which is expressed through myths, symbols, and allegories… sub specie interioritas, in order to seek and understand the archetypes hidden within them. Here, one must meditate on each symbol and each myth, until they reveal the mystery they contain, and a transformation in our consciousness will begin.”
Beware of those who distort symbols and myths, for they must know that in doing so, they touch the very depths of being and cause changes in both individual and collective consciousness. The Companions of the Egyptian Rites sense this, and the Masters are fully aware, so much so that in their final journey, they must confront the knots that form the backbone of their most intimate existence. This is, without a doubt, the vocation of the Arcana and the Arcana Arcanorum (the arcane of arcana). The first of the four degrees that make up this particular “school of mysteries” draws our attention to three key points.
The knowledge of the “social and spiritual animal” that we are, regardless of our beliefs, rests upon the mastery of our bio-physiology, the mastery of our breath of life, and finally, the mastery of our imagination.
These three pillars support the human soul and its capacity to keep us alive within a field of consciousness that we assume to be universal. Above all, it is a field of consciousness suited to conceiving life as a respectful bond with the states of consciousness of each individual. Each individualized state of consciousness transports every being into a space- time of fraternity and harmony.
Doctoral candidate Sophie Moreaux-Carré speaks to us about our Dear Brother Carl Gustav Jung, writing the following: “Jung reinforces the empirical studies of psychology through a philosophical introspection into what the imagination and symbolism are. The collective unconscious, made up of primordial images, reflects the structure of the psyche of modern man. The study of dreams, anthropological or mythological knowledge, and hermeneutics explain the figurative language of the soul’s thoughts and contribute to the development of a philosophy of the imagination. The mythical figures of alchemy shed light on the functioning of active imagination and express the process of Western individuation. If the confrontation with the shadow is the recognition of the existence of the darker or lower contents of the whole personality of the self, the dialectical relationship also leads to the encounter with other archetypal images. Unconsciously, the adept contemplates synchronicity, a metaphysics of psychological types, the religious function, art... But introspection can go even further and create a new synthesis of personality, uniting opposites into a metaphysical unity. The interest of philosophy in Jungian thought is justified by the originality of his approach to concepts. His theory, governed by the idea that the goal of life is the conscious realization of the self, offers philosophy a genuine ontological reflection.”
We should also note here the Lacanian registers of the analytical experience: “the Real,” “the Symbolic,” and “the Imaginary.”
So here we have laid the foundations of our reflection... but you may ask: what relation
does this have with the world of the Olympic Games?
Historians of ancient Greece say that the Games were created according to two legends:
Either by Heracles, the demigod of ancient times. He is said to have organized such games based on physical performance to please the God of Gods, Zeus, upon returning from a victorious expedition against King Augeas of Elis.
Or by Zeus himself, in memory of his victorious struggle against Chronos to take
the throne of Olympia.
The Olympic Games are said to have lasted nearly twelve centuries—an exceptional longevity in the history of humanity! It wasn’t until the year 394 that the Christian emperor
Theodosius decided to drastically ban what he considered pagan celebrations. We know that the Church was well-versed in repression! But that is not the point here. At that time, the Church implemented actions particularly hostile to anything related to the body and the flesh...
The modern Olympic Games were “revived” by Pierre de Coubertin in 1894, with the first games held in Athens in 1896.
Since we are talking about symbolism, which we now understand cannot be isolated from the Real, the Imaginary, or the Myth, let us gather the elements that can characterize the modern Games:
First, an idea: “to build a better world by aiming to develop culture and the formation of the global citizen through the exaltation of the body.”
Three principles: “respect,” “friendship between peoples,” and “solidarity through non-discrimination.”
Four words forming a motto: “Citius, Altius, Fortius, Communiter” (Together, faster, higher, stronger)…We can elaborate further. The Olympic Games have:
As a symbol, a flame, which for us Masons represents the supreme desire to produce the best of oneself in service to the universal. The athlete is the Earth, and their environment is Water, Air; the Fire is their passion... and what they must produce is quintessence!
For its emblem, a “flag” formed by five rings whose colors are Blue, Yellow, Green, Red, and Black, all set on a white background.
Our Companions will easily grasp the philosophical significance of these interlaced circles. They represent not only Man in his material or territorial completeness but also his highly spiritual dimension (Cf. Leonardo da Vinci’s Vitruvian Man). The colors are not taken from the fundamental colors of the “Rainbow,” but they give an idea of the development of reality starting from three primary colors (Blue, Yellow, Red), which yield other colors with important symbolic meaning: Green and Black…
Yet, is there not one color missing? Could it be Purple?
In the Egyptian Rites, this color is a Grail, as it is, along with Indigo, the color of realized beings… thus it symbolizes the goal of all humanity in connection with its transcendence.
Lastly, an anthem: the one composed by Spyros Samaras in 1896, with lyrics by Kostis Palamas.
Descend here, appear, shine like lightning,
In the glory of the earth and your sky.
Of steel and dignity...
Companions and Masters will see in this the power of vibration and the transmutative function of music and song for the human soul…
Let us not end this paragraph without mentioning the very logo of the USFA, the organization that manages this magnificent event… two overlapping circles tending to represent a Vesica Piscis... one is red... the other is blue... can you guess the result of their fusion? Naturally, purple, as we might have suspected.
Does this not remind our brothers and sisters, Freemasons, of something?
Here we have a magnificent assemblage worthy of a highly evolved universal knighthood.
But… there is a long way between the cup and the lips. While symbols are powerful, it often happens that those who use them transform the ideals they represent into a fair where overly human ambitions are exalted. The worm is often in the fruit.
Here are four examples to illustrate this.
The first concerns the meaning of the number of rings—not the fact that there are five, but what they represent according to so-called official organizations, namely the five regions of
the world: Europe, Asia, Africa, America, and Oceania.
Who said that the world was structured this way? Has humanity formed like this? Is it not
diverse? Are cultures and populations not more varied?
When territories determine spaces, it is rare that antagonisms do not arise, generating
discord and resentment. Every Olympic Games is entangled in political, financial, and
cultural contingencies, trailing behind it a procession of bitterness.
The second example comes from the opening of the 2024 Olympic Games in France,
where, to represent the country (France), the world was shown a strange, insular Parisian
narrative, a story of France exalting our “moments of liberation,” but one that will have a
hard time convincing the world of the quality of the fruits produced, given what our country
has become.
I witnessed the art of deception and confusion… a sort of “do as I say, not as I do.”
But let’s get to the point.
To avoid any misinterpretations, I submit to the reader the content of the tableau
“Festivity,” as presented in Wikipedia:
“Emerging from a giant restaurant bell, the singer and actor Philippe Katerine
appears, almost naked and fully painted as Dionysus, his body covered in blue-
silver glitter and his beard saffron, the ancient god of the vine—‘one of France’s
jewels’—of festivity, madness, and theater, and, according to Thomas Jolly, father of
Sequana, the Gallic goddess of the Seine, to perform Nu, his ode to peace, half-
reclined behind a platter of cheeses, on a tray of colorful fruits and flowers,
arranged as an offering at the center of a long banquet table. Surrounding him are
various colorful characters, including DJ Barbara Butch, wearing a crown of Helios,
as a saintly icon or Statue of Liberty, presiding over her DJ booth, and numerous
drag queens, momentarily frozen behind him. Some interpret this tableau as a
reference to Leonardo da Vinci’s The Last Supper, where Jesus is surrounded by
his disciples, or to The Feast of the Gods by Jan van Bijlert, in which a crowned
Apollo plays the lyre at the center of the table alongside Bacchus in the foreground.
At the end of his performance, Katerine turns the music back on.”
In light of what we have written about symbolism and its operativity in the hands of
Companions and Masters, let us analyze the following.
Why “Festivity”? Is it a characteristic of the Olympic Games? Any event can be festive if we choose to program it that way...
So why, in this case, invoke “Dionysus” in this spectacle?
The answer is: why not?
However, why emphasize the most degraded aspect of the Dionysian? The Mystery Schools associated with Dionysus were not like this originally. They were perverted towards the end of their practices, like all human creations. The same can be said of the Mysteries of Eleusis, for similar reasons.
The Mysteries of Dionysus, naturally, concern ancient Greece but also Celtia and Palestine. In Greek mythology, Dionysus is the son of Zeus and Semele, a magnificent Theban princess. She died from it...
A brief linguistic analysis sheds some light. Dionysus is formed from Dios (derived from Zoos), which designates the “universal life-principle,” and Nu or Nûn, the time that flows through action, the cosmic time that came from the "first times," as stipulated by Ancient Egypt. Similarly, Semele is a name of Celto-Hebraic origin, whose root is Shem, as found in “Shemesh,” meaning Sun!
Like the Mysteries of Eleusis in the mountains of Thrace, these Mysteries allowed their initiates to experience the generative force of vegetation that… never dies, particularly that which remains when all materiality has vanished. This notion is found in the winter solstice festivals. Vegetation reactivates the seed and germ, which will trigger cellular activity until maturity, and finally, to produce fruit or offspring. In other spiritual sensibilities, we find the symbol of opposition-complementarity constituted by the principle of vivifying radiation (Yin) and the principle of & regenerating darkness
(Yang).
These cycles were known to ancient Greece, which had observed that the vine, in its material and spiritual aspect, was the most perfect symbol for approaching the most intimate part of life. The Greeks attached themselves to this special "blood" of the vine, which is wine.
Who among the Freemasons has not meditated on wine?
And it is not without reason that many spiritual traditions still conduct rituals of “communion,” expressed by sharing a round loaf (symbol of the sun: Unity – Sun – Universe) and a round cup, also filled with wine, from which each person takes a sip before passing it to their nearest neighbor. Let’s delve deeper still.
This notion of the “spiritual,” related to the term “spirituous,” the root of spirit, evokes the classification that Arab scholars made of this concept: “AL-Kool.”
This term could be translated as that which allows assimilation or to be assimilated (Kool) with the “sublime” (AL – Allah).
Georges Osario, in The Light of Eternity, explains that since blood is the liquid tissue essential for bio-physiological life, the ancient initiates saw in the fermentation (of grapes) leading to “spirit-alcohol” the entire work that human blood must accomplish during one’s passage on our planet “Earth” to become Spirit and thus transcend its "hematic" nature.
We can see that the Festivity tableau falls far short of inspiring the world with this subtle
lesson in philosophy and metaphysics.
The myth of Dionysus, in its phase of deep initiatory reflection, urged us to remember its
seven characteristics:
The idea of the permanent mutation of beings and things according to time and circumstances,
The relativity of the behaviors of living beings,
That there are blind people who can see, deaf people who can hear, but many beings who see and hear with their physical organs remain blind and deaf to their inner voice,
That the visible and invisible beings and things of the universe form a whole,
That when matter is destroyed, scattered, or disintegrated, something remains and never dies,
Finally, the Greek people were far too advanced not to recognize the two effects of wine, one degrading and ugly, the other delightful and euphoric. They understood that this liquid with dual effects pointed to the two sides of the same coin.
Here lies the primitive purity of this Dionysian mystery:
“Glorification of the fertility and fecundity of the nourishing earth, and particularly,
the victory of life over the slumber of death.”
We are, evidently, far removed from the lessons this myth offered in its primitive phase.
The modern Western societies, represented here by France, decadent themselves, have retained its corruptive phase.
The opening of the 2024 Olympic Games is an example. The tableau associated with the "festivities" was particularly gendered, attempting to send us some unclear message! An unnecessary message, pointing to a population suffering greatly and directing the spotlight toward a minority seeking only media attention.
Is it necessary to remind, as Eric-Emmanuel Schmitt does, that the concepts of homosexuality, heterosexuality, and bisexuality, forged in the 19th century, had no relevance in ancient Greece, and even less so the concept of “transgender.” Sappho is never presented as a “lesbian,” but simply as a citizen native to Lesbos.
The power of the image, which meets the imagination of men and women shaped by hereditary beliefs, is incredibly shocking and destructive when proper framing and a slowpan allow for a momentary visual confusion with the “Christic scene”… only for the discovery of the characters present to project us far away from the symbols and myth meant to teach the profound nature of humanity.
The third example concerns the tenth tableau, "Solidarity."
Once again, what does the official version via Wikipedia say?
“The tenth tableau, Solidarity, features a mysterious rider dressed in shining silver armor, wearing the Olympic flag as a cape and riding a metallic horse, galloping at length along the Parisian river, which has turned black, reflecting the lights of the ceremony, and is intended to spread the spirit of Olympism in the city, filled with friendship and solidarity, ‘inviting the world to unite in its wake.’ As she races, the silver rider unfurls immense dove wings above the Seine, an ancient symbol of peace between Nations during the Olympic truce. This masked rider is portrayed by Morgane Suquart, co-founder of MM Process, the company that designed the ‘motorized trimaran’ carrying the mechanical silver horse created by the design studio Atelier Blam in Nantes. The rider’s armor was designed by stylist Jeanne Friot, commissioned by artistic director Thomas Jolly, in homage to Joan of Arc. It is also the embodiment of Sequana, the goddess of the Seine and a symbol of resistance. A reference to Pierre de Coubertin, to the re-creation of the Olympic Games decided at the Sorbonne in 1892, and to the history of the Games is made simultaneously, through the broadcast of numerous archival images from various international Olympic editions.”
For my part, I found this portrayal of a chivalry taming the elements to exalt the Olympic Grail to be quite intelligent.
Perhaps I am too idealistic. But is the modern world excluded from the creation of powerful symbols?
Have only the ancient peoples become the absolute masters in this matter?
No, of course not, and here, I concede that this scene could have been a kind of fusion between science and spirituality, inviting knightly actions.
However, this rider carrying the Olympic flag has, for some, become a figure akin to one of the Four Horsemen of the Apocalypse from the Book of Revelation.
The horse, described as “silver” in the text, could then be perceived as white (Conquest – Destruction), pale (which means green, symbolizing Death), or black (Famine – Carnage).
The fourth horse in the Apocalypse texts is red, signifying War.
Christians who noted such an interpretation could have remembered that after their "purifying mission," there appeared the “four living creatures” represented by a lion, a young bull, a human face, and an eagle… each symbolizing an evangelist (the Bull for Luke, the Man for Matthew, the Lion for Mark, and the Eagle for John).
Alas! A few words spoken by the commentators could have revealed to the audience the true significance that this tableau held.
Lacking awareness of the power of symbolism, what we witnessed was the "flop" of this
creative art in service of a universal message.
In reading the explanatory text from Wikipedia, I see, in fact, nothing more than a business card for the merchants of the French Olympic temple.
When artistic creations are devoid of understanding of the workings of the human psyche, there is a high likelihood of achieving a result opposite to the one intended.
The fourth example concerns the closing of the Olympic Games.
This scene presents a strange vision of a territory reduced to nothing, where a zombie-like people are liberated by a shining golden figure from another world. Without explanation from the media, confusion set in. For adherents of the Old and New Testaments, it evoked the fall of “Lucifer” and his fateful ambition!
One can then understand the mental confusion that may have resulted...
A temporary conclusion, as always:
Symbolism, and the mythology often tied to it, is magic because they speak to the soul of the people, informing beings of their deep reality, transforming and transmuting all living beings endowed with consciousness. They are tools and vehicles of phenomenal power, seizing all the mechanisms of thought.
Thus, beware of magicians with little awareness. Beware of apprentice sorcerers, for whom toxic spirals are legion. Beware of knowledgeable and conscious magicians, for they may lead humanity into spaces and times least conducive to a harmony that generates happiness in service of life.
Also, beware of inspired magicians, those who, through their openness of consciousness, draw all of humanity toward its highest potential for development. These are, without a doubt, the most suitable and perform a useful alchemy for the evolution of humanity.
The consequence this imposes on man is the necessity to take charge of his own awakening and master all the tools of understanding of what he experiences, here and now, in order to make the right choice and protect himself from less… appropriate choices.
Gérard Baudou Platon,
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