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Christian Joffard

Celui qui ne sait pas ...



 

Celui qui ne sait pas ...


Celui qui ne sait pas, mais ne sait pas qu'il ne sait pas, est un imbécile.

Evite-le.

Celui qui ne sait pas, mais sait qu'il ne sait pas, est un apprenti.

Instruis-le.

Celui qui sait, mais ne sait pas qu'il sait, est endormi.

Réveille-le.

Celui qui sait et sait qu'il sait est un maître.

Apprends de lui.

Proverbe arabe


Voilà un "beau" proverbe" arabe qui nous met, nous "maçons", au pied du mur … Cependant la structuration linguistique de ces lignes me rassure personnellement, j'irai même jusqu'à "croire", à cette lecture, que je me positionne à l'extérieur et simultanément, en quelque sorte, dans une position "supérieurement élevée" …. Ce qui ne m'apparait pas une excellente perception vis-à-vis de mon "ego" mal et peu maîtrisé je le reconnais volontiers.


Alors je vais m'efforcer de m'élever en allant vers le bas … car si mes souvenirs restent valables, un Trois Fois Grand nous a susurré cette situation autant ambigüe que paradoxale il y a … .. Voire plus.

De ce proverbe je choisis un regard simultané sur les quatre (4) "propositions" d'action face à une situation donnée…


Et j'ose espérer avoir compris le sens des assertions se succédant ainsi dans l'espace-temporel où je pense me trouver en général, au sein de l'Ordre en particulier …


Mais si je tourne mon regard vers mon passé, suis-je assuré de savoir mon lieu de l'instant présent ? Que nenni point question probablement …


De ces quatre (4) potentialités chacune fait référence au "savoir" … pas à la "connaissance" … il est donc nécessaire ET indispensable d'aller "voir" les définitions des deux (2) termes … .. J'en choisis deux "arbitrairement", ou plus justement deux qui me "parlent" … … …


a) "https://www.jepense.org › différence-savoir-connaissance

La différence entre savoir et connaissance (philosophie) - JePense.org

Le savoir est un acquis tandis que la connaissance est un chemin, le savoir est récitation, la connaissance est compréhension et appropriation, le savoir est affirmation alors que la connaissance est questionnement, le savoir est accumulation, la connaissance est (…)


b) www.quelle-difference.fr › difference-savoir-connaissance.html

Différence entre le savoir et la connaissance

Le savoir est lié à une communauté, une connaissance ou un individu. La connaissance est quant à elle le processus d’assimilation individuelle de ce savoir. Elle fait ainsi référence à des objets plus spécifiques mais surtout à l’expérience individuelle de ce savoir.


Je soumets et laisse ces deux définitions à vos réflexions avisées et fécondes, et même vous incite à en trouver davantage …, auxquelles vous seriez plus "sensible" …


"Evite-le" … Et pourquoi donc ? Si "je sais" pourquoi ne tenterais-je point de partager tout ou partie de ce que "je sais" ? Il me semble me souvenir d'un certain nombre de serments, d'engagements d'être à l'écoute, et possiblement d'assister celle et celui qui seraient dans la ténèbre …

"Evite-le" … Et pourquoi donc ? Il existe une maxime stipulant qu'à "vaincre sans péril on triomphe sans gloire", pour ma part je rajoute et remplace "sans gloire" par "plus facilement" …. Pour satisfaire mon "égo" ?, pour me "préserver" des éclaboussures possibles et négatives, voire nauséabondes, de mon propre passé d'ici et/ou d'ailleurs ??

"Evite-le" … Et pourquoi donc ? Puisque je suis sensé "savoir", aucune illusion ne m'est possible ; je fus ce qu'il est sans contestation possible, il est très certainement un reflet de mon "hier", il est "partie" intrinsèque de mon "aujourd'hui" non ??? voir ….) !

"Instruis-le" … Bigre, un impératif ! Et de quoi je me mêle ! Ne suis-je point un "homme libre" (pour le reste faut "Instruis-le"… Moi, 'instructionner' un apprenti ! Et à quel titre donc ? Je ne suis pas second surveillant, et pas souvent "parrain", et quand bien même suis-je, sinon apte, au moins désireux "d'enseigner" ? Si j'en crois ma propre expérience je ne pourrais guère l'instruire, tout au plus lui parler de mon propre cheminement du type "de mon temps" …


"Instruis-le" … Cet "impératif" me perturbe toujours, justement en regard de mon parcours … ..

"Réveille-le" … Mais dort-il ou médite-t-il les yeux clos tel nos "anciens" dont je fais parti désormais et ad vitam aeternam … … …

"Réveille-le" … J'hésite … et s'il était en train de réviser d'abord, de réfléchir ensuite, ses connaissances encore théoriques des "7 Arts Royaux" ?

"Réveille-le" …Qui sait, prépare-t-il une rare intervention à venir au sein de la Loge, et il tente de retrouver un brin de sérénité, et de courage, pour balbutier quelques mots, pas encore de "Parole" ?

"Réveille-le" … Pourquoi ? S'il dort peut être que sa matérialité a laissé place à sa spiritualité pour explorer d'autres contrées invisibles à son regard …….

"Réveille-le" … De quel "droit" ? Est-ce mon "devoir" ? Après "tout" peut être ainsi use-t-il d'une "clé" ouvrant une porte, son cœur, son esprit à une, des réalités impalpables encore impossibles pour lui ici et maintenant autrement ?

"Apprends de lui "… Holà ! Si je veux apprendre de "lui", c'est je reconnais que j'ai des manques dans mes connaissances, et ça mon "ego" ne le supporte que difficilement ….

"Apprends de lui "… Holà ! De plus je suis un "homme libre", pourquoi devrais céder, obéir à un tel impératif aussi tranchant que violent ….

"Apprends de lui "… Que puis-je apprendre de lui, je suis désormais trop vieux, sclérosé, tourné vers mon délabrement physique, mental, alors à quoi bon ?

"Apprends de lui "… Qu'est-ce qu'un "petit morveux" peut m'apporter à Moi ! J'ai reçu la Lumière il y a plus de quarante années à errer et méditer dans l'aridité de mon désert intérieur, franchissant tant et tant de degré à l'ancienneté pour mon "ego" toujours tapit et ricanant dans mes cauchemars …

"Apprends de lui "… De lui ? Un "pseudo maître" alors car mes décors brillent bien plus que les siens, mes grades empilés écrasent ce tablier rustique et banal, mon passé assidu parle pour moi, j'ai déjà tout entendu en loge … et les "anciens" (dont je fais enfin désormais parti) m'ont coopté !!! Ce n'est pas son cas à celui-ci !

"Apprends de lui "… Je vais essayer, en trichant un peu …. Je considère que "lui" c'est "moi" jadis, en fait j'irai jusqu'à oser dire que c'est mon reflet du miroir que j'ai dans ma besace depuis mon compagnonnage … ..

"Apprends de lui "… Mais si "lui" c'est "moi" ….. J'engage un dialogue intérieur sans faux fuyants, je "traverse le miroir", je suis des "deux côtés" sans reflet, je suis "moi" dans sa globalité mais j'aspire encore à la "totalité" … Des outils plus "affinés" me sont désormais nécessaire dans cet "espace-temps" … "spiritualisé" de facto ! Enfin me semble-t- il soudainement.

Ce "proverbe arabe" est déroutant (en tous sens du terme …..), j'y décerne plusieurs niveaux de lecture, voire de compréhension. Serait-il, tout ou partie, "hermétique" ???

Ainsi ce proverbe arabe parait me coincer dans la bulle de mon "espace temps", et égratigner ma conception, (surtout mon "ego"….) personnelle et profonde sur un sujet aux aspects non négligeables … Mais "le monde" n'est-il pas "illusion(s) ?


En tout état de cause je reste pensif, perplexe, méditatif devant ce pro-verbe "arabe" qui m'entraine dans un tourbillon de nuages épais et diaphanes, qui clignote de 108 éclats de "pierres", qui pourrait tracer un tracé sans traces visibles dans l'invisible matériel où parfois je me débats (des bâts ?) dans l'énervement de mes frustrations intellectuelles qui n'arrivent guère à me mener vers l'ailleurs spirituel que je devine, quelquefois discerne, dans le brouillard humain…

Alors je me tourne un peu craintif vers deux autres citations qui m'intriguent depuis … et plus, bien que j'en entrevoie maintenant un des sens profond, enfin je crois …… "ora et labora" et "memento mori" "Prie et travaille." et "N'oublie pas que tu vas mourir"


La musique des ces mots en latin chatouille ma "conscience" (en un seul mot) et taquine l'effort de ma réflexion pointée au-delà de l'au-delà …


Trop souvent la "langue latine" est associée étroitement au "christianisme" ("religion" finalement plutôt récente), et la curiosité humaine majoritaire ni voit pas plus loin, plus haut non plus apparemment.


Il est vrai que la "sonorité" (les vibrations donc, l'Energie …) d'icelle m'a toujours "remué" le corps et l'esprit … qui sait l'âme aussi ? Je reste sous le "charme" en écoutant un "chant grégorien", comme si j'accédais à un autre Univers, ou/et une (des) autre(s) dimension(s) … ..


D'ailleurs il en est de même, pour moi du moins, à l'écoute de chants "orthodoxes", des graves chants "tibétains", de "l'Om̐" traversant l'éther … "ora et labora"


"Prier", oui j'ai connu dans ma jeunesse comme bon nombre d'autres …. Mais savais-je ce que je faisais, sans vraiment de conviction ?

"Travailler" oui je savais aussi, d'un point de vue "matérialiste", quelquefois "intellectuel" (lors de mes scolarités), mais bon cela ne suscitait pas vraiment mon enthousiasme ….


Mes réflexions solitaires, post adolescence, m'ont permis d'approfondir (superficiellement j'en conviens) ces deux notions qui pouvaient ressembler à "deux piliers", voire à "deux colonnes", d'une vie humaine qui se présentait à moi (comme à tout-à-chacun d'ailleurs) dans des années agonisantes d'une "prospérité économique" qui se délitait déjà …. Et puis j'ai compris à ces moments la réalité des inégalités socio-économiques autrement que par "ouïe dire" ….


"Travailler", par goût ? Par plaisir ? Par obligation de vie ? Certes j'ai compris très vite, ne pouvant poursuivre des études, que des contraintes "bassement matérialistes" parsemaient déjà le seuil de mon chemin.


"Prier", par "habitude" lorsque que j'avais besoin/envie de quelque chose …. Certes mais sans réelle conviction, disons le clairement au cas où, on ne sait jamais ….


Bref "travaille et prie" ne m'ont pas convaincu, à cette époque, de leurs utilités, ni même d'une quelconque efficacité réelle ou supposée dans mon avancée vers la vie d'adulte (si je puis dire …).

Mais j'ai eu l'envie, la curiosité, l'idée saugrenue assez jeune encore, après avoir trouvé un emploi rémunéré, de solliciter mon admission dans une Loge maçonnique…


Aujourd'hui encore je n'ai aucun regret d'avoir engagé cette démarche et d'avoir été accepté et "reconnu comme tel" par des frères de jadis…


Un tournant ! Un "tournant" étalé sur une foultitude de "seuils", de "sentiers", "d'étapes", de "pauses", de "retours", "d'avancées", "d'impasses" aussi … ..

Un tournant ! Un "tournant" vers plus de "clarté" et non de "Lumière" encore éblouissante, vers une "évasion" de "l'illusion" humaine et d'un matérialisme aride, voire sordide, vers une "ouverture" intellectuelle certes mais également "spirituelle" … ..


Un tournant ! Un tournant vers soi-même et sans fard, vers son intime centre où luit une "minuscule parcelle", vers l'appréciation du "haut comme du bas", une approche vers "Maât" et les rives à traverser, à gué, jusqu'à "la sortie au jour" … … … "ora et labora"


De tous temps l'être humain a trouvé l'impérieuse nécessité de "croire" en des forces autres que les siennes, il a donc "créé" des "entités supérieures puissantes" (protectrices si possible) d'une façon ou d'une autre.


Au fil des cycles terrestres il a affiné sa perception de ces forces (bénéfiques mais aussi maléfiques), d'une certaine manière une sorte de "transfert de responsabilités et d'actions" …en quelque sorte on pourrait dire qu'il s'est volontairement mis sous la coupe de ….


Ainsi naquit probablement la "prière", l'appel aux divinités, la supplique désespérée d'humains en "mal-être", de transferts de peurs viscérales (dont la mort …), d'envies matérielles (une sorte de loto d'époque si je puis dire), mais l'efficacité n'était par vraiment au rendez-vous.


Ainsi naquit probablement les "prêtres" (quelles que soient leurs dénominations ….) intermédiaires souvent cupides, escrocs, ambitieux et arrivistes ; mais parmi ceux-là il y avait aussi, déjà, de réels possesseurs de "pouvoirs" ….


Ainsi naquit probablement la "magie", la "théurgie", la quête pour connaitre "l'au-delà", la survie matérielle et spirituelle, "la sortie au jour" … Naquit mais pas par "hasard" mais plus sûrement par l'accession individuelle (collective aussi) à une/des/d'autre(s) dimension(s) plus "subtile(s)", d'essence "spirituelle" disons pour simplifier (même si cela n'est pas exact à mon avis …).

"ora et labora"


Mais (il y a toujours un mais …)


Ce regard et ces réflexions que je pose ne concernent qu'un "laps de temps" ridiculement restreint par rapport tant à nos "connaissances" pour le moins remisent en question tous les jours, tant qu'au "laps de temps" ridiculement microscopique par rapport à l'âge (présumé encore….) de notre planète Gé.

Cette infime poussière que nous nommons, avec un brin d'orgueil et un zeste de suffisance béate, "Civilisation" est sujette à remise en cause permanente par les découvertes, compréhensions nouvelles (?) d'une pseudo histoire "terrestre", même pas galactique …


Les avancées humaines connues, reconnues ET reléguées volontairement car "incompréhensibles" ou/et "trop compréhensibles" bornent nos sorties des chemins matérialistes et égoïstes pour (re)découvrir un sens "spirituel" à une globalité "cosmique, cosmogonique, cosmologique".

Quant à nous qui nous "targuons" d'être "initiés", ou du moins sur la "voie de l'initiation", nous restons ouvert à l'imprévisible, l'invisible, le supra et l'infra-visible, la liberté absolue de quête, de recherches, de …conscience …


Vaste infinitude universelle que nous entreprenons d'essayer de parcourir pour mieux, autrement comprendre ce que nous sommes, ce que nous croyons être, ce que nous espérons être … ..

Alors oui ! Nous travaillons au mieux que nous pouvons …


Alors oui ! Nous prions pour tenter d'accéder "plus haut au plus profond de nous" … ..

Alors oui ! Notre quête nous donne le vertige, nous faisons parfois frôler la "folie" sociétale … … …

Alors oui ! Nous pouvons effleurer, via notre "travail" et nos "prières" d'autre dimensions connues depuis des "siècles et des siècles" par une, hélas, minorité d'êtres humains que j'estime pouvoir qualifier "d'Elus", "d'Eveillés", de "Guides" …… . D'aucuns diraient de "Maîtres" … ……… ………


Dans quel(s) but(s) ???


Essentiellement … tenter d'approcher une/des réponse(s) au triptyque de "toujours" :

D'où viens-je ? Qui suis- je ? Où vais-je ?

Avec en corollaire : Pourquoi ? … .. Comment ? … ..


Non je ne vais pas vous livrer mes réponses, si tant est que j'en eusse … Comme nous tous j'ai des esquisses, parfois abruptes, parfois plus nuancées, mais nulle certitude ; je ne vous surprends pas … Je n'ai que des hypothèses, réfléchies, glanées et forgées au long de mon parcours actuel. A chacun de réfléchir, étudier et méditer sur ces questions ("fondamentales ?")


D'ailleurs l'autre partie vient clarifier une certitude humaine matérielle … et "memento mori"

Mais (oui là aussi ….) ce n'est pas aussi simple, même et y compris, pour celles et ceux qui voient dans ce "terme" un "terme absolu" … ..


Les potentialités de cheminement sont infinies … .. Autant que les "pensées et réflexions" de chacune et chacun d'entre nous …


Comment pourrait-on oublier que la mort est inéluctable ? Mais de quelle mort parlons-nous ? Là est le véritable seuil entre individu…… .

Et n'allez pas me dire qu'après la Vie il n'y à rien ! Einstein, entr'autres, a considéré et démontré (mathématiquement et physiquement, "scientifiquement") que "rien ne se créait, rien ne disparaissait, tout se transformait …."; il a fait partie également de ces physiciens ayant développé l'étude de la "physique quantique" si déroutante aux "esprits cartésiens" … "memento mori"


Déjà, dans le fond, l'être humain redoute surtout la "douleur" plus que la mort … Nonobstant sa terreur de se retrouver "seul" (avec lui-même ?). L'égoïsme de l'ego à des conséquences …. sur tout.

Déjà l'être humain dans son infini égoïsme et de son ego n'acceptent pas d'interrompre sa présence matérielle sur Gé … tant il se croit.. indispensable..


Déjà l'être humain dans son appréhension de la "mort physique" se croit et se veut, physiquement immortel … Mais se donne-t-il les moyens de d'étudier avec sincérité, objectivité et sérénité ?

N'est-ce pas ce que nous efforçons, pour notre part, de percevoir et de "comprendre" au moins partiellement ?


Et cela en toute liberté de pensée, sans aucunes contraintes et limites …


Immortalité / Eternité ?


Nous voilà face à deux (2) mots qui n'ont pas le même sens si je ne m'abuse … … …

Pour faire "simple", pour faire "court", brièvement mais en toute conscience et "objectivité" voilà ce que je peux percevoir, personnellement, sur les deux "significations" à la fois "scientifiques ET spirituelles" :


Immortalité


L'immortalité bien sûr, écarte la "mort" en son sens commun, partiel et partial ; par contre rien n'indique le "commencement" … du type "au commencement était la Parole/Verbe (…)"

En résumé pas de "commencement" défini, par contre l'affirmation d'une "non fin" …

Ceci me paraît un brin bancal …. Ne me satisfait guère, ni matériellement, ni scientifiquement, ni intellectuellement, ni spirituellement. Je reste "sur ma faim" de compréhension et quelque peu dubitatif et frustré.


Eternité


L'éternité, si je ne m'abuse ne connait quant à elle "ni début, ni fin". Me voici face, à ce que je nomme quant à moi, au "Mystère" Absolu" …… .


En résumé cette interrogation me renvoie au "Cercle" (avec ou sans point central visible mais indispensable en géométrie euclidienne et mathématiques pythagoricienne – disons "classique dans nos scolarités d'hier….), voire à "la poule et à l'Œuf"…


Ceci me laisse perplexe et "déboussolé", sans référence géographiques, ou plus, en un premier temps.

Immortalité / Eternité ?


On pourrait dire : "être immortel pour l'éternité". Mais pour un certain nombre d'entre nous la quête entreprise, par curiosité teintée d'égoïsme (et oui ….) n'est pas la recherche d'un syncrétisme de façade mais la compréhension à tous niveaux (au moins sept -7-) du comment/pourquoi …


Pour nous "science(s) et spiritualité" sont liées, intimement liées au plus profond de la Vie. La mort nous intrigue, nous inquiète bien sûr, mais surtout ne nous semble pas "logique", ni scientifiquement et spirituellement, ni un terme glacé et noir dans nos univers baignant dans la luminosité de la Lumière (non il ne s'agit pas d'une redondance mais d'une approche autre …).


Deux esquisses qu'il convient d'étudier et d'approfondir dans une sérénité apaisée …


Esquisse d'approche du "Bardo Thödol" improprement appelé "livre des morts tibétains".


En réalité il s'agit d'un texte du bouddhisme tibétain décrivant les états de conscience et les perceptions qui se succèdent pendant la période qui s’étend de la mort … à la renaissance.


Ce n'est pas "un livre" mais un texte déroulant un chemin … ..


Esquisse d'approche du "livre des morts des anciens égyptiens" qui est également une dénomination erronée, il s'agit en réalité "Livre pour sortir au jour" (un recueil de textes plus justement, et pas toujours les mêmes), Le "jour" en question est celui des vivants, mais aussi de tout principe lumineux s'opposant aux ténèbres, à l'oubli, à l'anéantissement et à la mort … … …


Dois-je préciser que nous sommes, cherchants, au-delà des domaines philosophiques et uniquement matériels …


Immortalité / Eternité ?


Nous n'avons aucun complexe, aucune appréhension, aucune contrainte lors de nos recherches, réflexions et méditations …


Pour nous "le temps n'existe" pas


Pour nous les dimensions sont infinies dans leur déclinaison Pour nous il n'y a pas "une vérité" (dogmatique qui plus est …)


Nos limites sont personnelles car nous nous devons de plonger au plus profond de nous pour tenter d'accéder à l'infinitude …


Le néant n'existe pas, le vide n'existe pas et, comme notamment mais pas exclusivement les "bouddhistes", nous pensons que le "monde" est illusion …


Les recherches scientifiques, récentes (depuis le début du 20ème siècle) en mathématiques, géométrie, physique et physique quantique, biologies, histoire et archéologie, musiques, philosophie, astronomie et astrologie, etc. en

fait l'ensemble complet des sciences connues de nous ….évoluant de façon exponentielle viennent élargir nos champs de vision(s), de perception(s) et de ressenti(s).


Voilà une des motivations, pour nos compagnons et maitres, de travailler sur les sept (7) Arts Royaux.

Existent également nos travaux "hermétistes et ésotériques" toujours surprenant, quelquefois dérangeant, pouvant perturber nos "ronronnements" devenus hélas trop souvent habituels … Aucune limite ici non plus, sauf éventuellement celles qui peuvent nous être strictement personnelles…


Notre Maçonnerie, celle de l'Ordre maçonnique, est simultanément spéculative et opérative au fur et à mesure de notre cheminement individuel et collectif …….


Peu à peu nous pouvons, si nous le désirons, aborder les "aspects spirituels" nichés ici et là.


Ainsi pouvons nous parcourir "l'Echelle de Jacob", "l'Arbre Séphirotique", la découverte des "chakras" les "réalités concrètes de nos corps", "l'alchimie (terme dévoyé volontairement, à bon escient en général…) ;


Ainsi les divers domaines sont pour nous autant de chemins, d'énigmes, de sources de réflexions/méditations, d'études "rationnelles", d'études "philosophiques", d'études "spirituelles, bref nous n'avons aucunes frontières dans notre quête "blanche".


Ainsi pour bon nombre d'hommes et de femmes, nous sommes "bizarres", "étranges", y compris pour une large masse d'adhérents/cotisants aux multiples Loges et obédiences, pour qui nous devrions "relever des médecines "psy…." car nous ne goutons pas aux ambitions égoïstes qui se lovent et se dissimulent dans ces "structures matérielles et sociétales", que nous ne condamnons pas qui plus est … ..

En "conclusion" toute provisoire, fragile et aléatoire, un "texte historique" qu'il convient pour tous cherchants de lire à tous les niveaux …

CAGLIOSTRO

Le 31 Mai 1786, Cagliostro s'était présenté devant ses juges.

- Qui êtes-vous ? D'où venez-vous ? lui dit le président.

- Un noble voyageur, répondit-il avec une certaine suffisance. Puis l'accusé s'identifia par une déclaration restée célèbre et que je vous laisse méditer.


Un plaidoyer immortel


"Je ne suis d'aucune époque ni d'aucun lieu; en dehors du temps et de l'espace, mon être spirituel vit son éternelle existence et, si je plonge dans ma pensée en remontant le cours des âges, si j'étends mon esprit vers un mode éloigné de celui que vous percevez, je deviens celui que je désire. Participant consciemment à l'Etre absolu, je règle mon action suivant le milieu qui m'entoure. Mon nom est celui de ma fonction et je le choisis, ainsi que ma fonction, parce que je suis libre; mon pays est celui où je fixe momentanément mes pas. Datez-vous d'hier si vous le voulez, en vous rehaussant d'années vécues par des ancêtres qui vous furent étrangers; ou de demain, par orgueil illusoire d'une grandeur qui ne sera peut-être jamais la vôtre; moi, je suis Celui qui est...


Me voici: je suis Noble et Voyageur; je parle, et votre âme frémit en reconnaissant d'ancienne paroles; une voix, qui est en vous, et qui s'était tue depuis bien longtemps, répond à l'appel de la mienne; j'agis et la paix revient en vos cœurs, la santé dans vos corps et le courage dans vos âmes. Tous les hommes sont mes frères; tous les pays me sont chers; je les parcours pour que, partout, l'Esprit puisse descendre et trouver un chemin vers vous. je ne demande aux rois, dont je respecte la puissance, que leurs hospitalité sur leurs terres et, lorsqu'elle m'est accordée, je passe, faisant autour de moi le plus de bien possible; mais je ne fais que passer. Suis-je un Noble Voyageur ?


Comme le vent du sud, l'éclatante lumière du Midi qui caractérise la pleine connaissance des choses et la communion active avec Dieu, je viens vers le nord, vers la brume et le froid, abandonnant partout sur le passage quelques parcelles de moi-même, me dépensant, me diminuant à chaque station, mais vous laissant un peu de clarté, un peu de chaleur, un peu de force, jusqu'à ce que je sois enfin arrêté et fixé définitivement au terme de ma carrière, à l'heure ou la rose fleurira sur la crois. Je suis Cagliostro...


Toute lumière viens de l'Orient; toute initiation, de l'Égypte ..."


Cagliostro (1743-1795)

Extrait des minutes de son procès

Secrets de la Franc-maçonnerie Egyptienne Denis Labouré

Editions Chariot d'Or

de Α à Ω

de Noun à Noun

le 06 du mois EPIPHI de la Saison SHEMON de l'an 000.000.000 de la VL

ou de l'an 13.564 du "ZEP TEPI" (30/06/2023 EV)

Christian Joffard


 

El que no sabe …


Quien no sabe, pero no sabe que no sabe, es un tonto.

Evítalo.

El que no sabe, pero sabe que no sabe, es un aprendiz.

Enséñale.

El que sabe, pero no sabe que sabe, está dormido.

Despiértalo.

El que sabe y sabe que sabe es un maestro.

Aprende de él.

Proverbio árabe


He aquí un "bello" proverbio árabe que nos pone a los "masones" contra la pared... Sin embargo, la estructura lingüística de estas líneas me tranquiliza personalmente, e incluso me atrevería a "creer", leyéndolas de este modo, que me sitúo en el exterior y simultáneamente, por así decirlo, en una posición "superior" ..... Lo cual no me parece una percepción muy buena de mi "ego" mal controlado, lo admito libremente.

Así que voy a hacer todo lo posible para avanzar hacia arriba moviéndome hacia abajo ... porque si mis recuerdos siguen siendo válidos, un Trois Fois Grand nos susurró esta ambigua y paradójica situación hace mucho tiempo ... ... O incluso más.

A partir de este proverbio elijo echar un vistazo simultáneo a las cuatro (4) "propuestas" de actuación ante una situación

dado...

Y me atrevo a esperar haber comprendido el sentido de las afirmaciones que se suceden en el espacio-tiempo en el que creo encontrarme en general, dentro de la Orden en particular...

Pero si vuelvo la mirada a mi pasado, ¿estoy seguro de saber dónde estoy ahora? Que nenni punto pregunta probablemente ...

De estas cuatro (4) potencialidades, cada una se refiere al 'conocimiento' ... no al 'saber' ... es pues necesario Y esencial 'ver' las definiciones de los dos (2) términos ... ... He elegido dos 'arbitrariamente', o más precisamente dos que me 'hablan' ... ...

c) " https://www.jepense.org ' diferencia-conocimiento

La diferencia entre saber y conocer (filosofía) - JePense.org

El conocimiento es algo dado, mientras que el aprendizaje es un viaje; el conocimiento es recitación, mientras que el aprendizaje es comprensión y apropiación; el conocimiento es afirmación, mientras que el aprendizaje es cuestionamiento; el conocimiento es acumulación, mientras que el (...)

d) www.quelle-difference.fr ' diferencia-conocimiento.html

Diferencia entre conocimiento y aprendizaje

El saber está vinculado a una comunidad, a un conjunto de conocimientos o a un individuo. El saber, en cambio, es el proceso de asimilación individual de ese saber. Se refiere, pues, a objetos más concretos, pero sobre todo a la experiencia individual de ese conocimiento.

Someto y dejo estas dos definiciones a tus informadas y fértiles reflexiones, e incluso te animo a encontrar más..., a las que serías más "sensible"...

"Evitarlo"... ¿Y por qué? Si "lo sé", ¿por qué no debería intentar compartir todo o parte de lo que "sé"? Me parece recordar un cierto número de juramentos, compromisos de escuchar, y posiblemente de ayudar a los que están en la oscuridad...

"Evitarlo"... ¿Y eso por qué? Bueno, hay un refrán que dice: "vencer sin peligro es triunfar sin gloria", pero me gustaría añadir y sustituir "sin gloria" por "más fácilmente" .... Para satisfacer mi "ego" ? para "preservarme" de las posibles salpicaduras negativas, incluso nauseabundas, de mi propio pasado aquí y/o en otros lugares ?

"Evitarlo" ... ¿Y por qué? Puesto que se supone que "lo sé", no puedo hacerme ilusiones; era lo que es sin discusión posible, es con toda seguridad un reflejo de mi "ayer", es una "parte" intrínseca de mi "hoy", ¿no es así?

véase .....

"Enséñale"... ¡Gran cosa, un imperativo! ¡Y qué tengo yo que ver con eso! ¿No soy un "hombre libre"?

"¡Me gustaría 'instruir' a un aprendiz! ¿Y en calidad de qué? No soy un segundo supervisor, y no soy

E incluso si soy, si no capaz, al menos dispuesto a 'enseñar'? Si me baso en mi propia experiencia, difícilmente estoy en condiciones de enseñarle, a lo sumo de contarle mi propio viaje "en mis tiempos"...

"Enséñale" ... Este "imperativo" siempre me inquieta, precisamente por mi formación ... ...

"Despiértalo" ... Pero, ¿está durmiendo o meditando con los ojos cerrados como nuestros "mayores", de los que ahora formo parte y ad vitam aeternam ... ... ...

"Despiértalo"... Dudo... ¿y si primero estaba repasando, y luego reflexionando, sobre sus conocimientos aún teóricos de las "7 Artes Reales"?

"Despiértalo" ...Quién sabe, ¿está preparando una rara intervención que vendrá dentro de la Logia, y está intentando recuperar un poco de serenidad, y coraje, para balbucear unas palabras, todavía no una "Palabra"?

"Despiértalo... ¿Por qué? Si está dormido, quizá su materialidad haya dado paso a su espiritualidad, para que pueda explorar otras tierras invisibles a sus ojos .......

"Despertarlo"... ¿Con qué "derecho"? ¿Es mi "deber"? Después de todo, ¿quizás así es como utiliza una "llave" que abre una puerta, su corazón, su mente a una o más realidades impalpables que de otro modo le son imposibles aquí y ahora?

"Si quiero aprender de él, tengo que admitir que carezco de conocimientos, y eso es algo que mi ego no soporta .....

"Aprende de él"... ¡Vaya! Es más, soy un "hombre libre", así que ¿por qué debería ceder y obedecer un imperativo tan tajante y violento? ....

"¿Qué puedo aprender de él? Ya soy demasiado viejo, estoy esclerótico, en decadencia física y mental, ¿para qué?

"Aprended de él"... ¡Qué puede aportarme un "mocoso"! Recibí la Luz hace más de cuarenta años, vagando y meditando en la aridez de mi desierto interior, atravesando tantos y tantos grados en tiempos remotos para mi "ego" que aún acecha y se ríe en mis pesadillas...

"Aprender de él"... ¿De él? Un "pseudo maestro" entonces porque mis condecoraciones brillan mucho más que las suyas, mis rangos apilados aplastan este delantal rústico y banal, mi pasado asiduo habla por mí, ya lo he oído todo en logia... ¡¡¡y los "mayores" (de los que por fin ahora formo parte) me han cooptado!!! ¡Este no es el caso!

"Aprender de él"... voy a intentarlo, haciendo un poco de trampa .... Pienso en "él" como en "mí", de hecho me atrevería a decir que es mi reflejo en el espejo que tengo en la mochila desde que empecé a trabajar con él... ...

"Aprende de él"... Pero si "él" soy "yo" ..... Estoy entablando un diálogo interior sin lados falsos, estoy "atravesando el espejo", estoy en "ambos lados" sin reflejo, soy "yo" en su totalidad pero sigo aspirando a la "totalidad"... Ahora necesito herramientas más "refinadas" en este "espacio-tiempo"... ¡de facto "espiritualizado"! Por fin, me parece de repente.

Este "proverbio árabe" es confuso (en todos los sentidos de la palabra .....), y yo diría que tiene varios niveles de lectura y comprensión. ¿Podría ser, en todo o en parte, "hermético"????

Así que este proverbio árabe parece atraparme en la burbuja de mi 'espacio-tiempo', y araña mi concepción personal y profunda (sobre todo mi 'ego' ....) de un tema con aspectos significativos... Pero, ¿no es 'el mundo' 'ilusión(es)'?

En cualquier caso, permanezco pensativo, perplejo y meditabundo ante este proverbio "árabe" que me arrastra en un torbellino de nubes espesas y diáfanas, que destella con 108 fragmentos "pétreos", que podría trazar un camino sin huellas visibles en la materia invisible donde a veces me debato (¿bâts?) en la irritación de mis frustraciones intelectuales que apenas consiguen conducirme hacia el más allá espiritual que adivino, a veces discierno, en la niebla humana...

Así que me dirijo con un poco de temor a otras dos citas que me han intrigado durante ... y más, aunque ahora puedo ver uno de sus significados más profundos, o eso creo ......

"ora et labora" y

"memento mori" "Reza y trabaja".

y

"No olvides que vas a morir".

La música de estas palabras en latín cosquillea mi "conciencia" (en una sola palabra) y burla el esfuerzo de mi reflexión apuntando más allá del más allá...

Con demasiada frecuencia, la "lengua latina" se asocia estrechamente con el "cristianismo" (una "religión" bastante reciente, después de todo), y la curiosidad de la mayoría de la gente no puede ver más allá, o más alto, aparentemente.

Es cierto que su "sonido" (es decir, las vibraciones, la Energía...) siempre ha "agitado" mi cuerpo y mi mente... ¿quién sabe si también el alma? Cuando escucho el canto gregoriano, estoy bajo su hechizo, como si entrara en otro universo y/u otra(s) dimensión(es) ... ...

Es lo mismo, para mí al menos, cuando escucho cantos "ortodoxos", cantos "tibetanos" serios, el "Om̐" cruzando el éter....

"ora et labora

"Rezar", sí lo sabía en mi juventud como muchos otros .... ¿Pero sabía lo que hacía, sin verdadera convicción?

También sabía "trabajar", desde un punto de vista "materialista" y a veces "intelectual" (cuando estaba en la escuela), pero no me entusiasmaba mucho ....

Mis reflexiones solitarias, postadolescentes, me permitieron profundizar (superficialmente, lo reconozco) en estas dos nociones, que podrían asimilarse a "dos pilares", o incluso a "dos columnas", de una vida humana que se me presentaba (como a todo el mundo, por lo demás) en los últimos años de una "prosperidad económica" que ya se desmoronaba ...... Y fue entonces cuando comprendí la realidad de las desigualdades socioeconómicas de una forma distinta a lo que había oído ....

"¿Trabajas porque te gusta? ¿Por placer? ¿Por obligación? Por supuesto, me di cuenta muy pronto, al no poder continuar mis estudios, de que las limitaciones "materialistas" ya salpicaban mi camino.

"Rezar", por "costumbre" cuando necesitaba/quería algo .... Por supuesto, pero sin ninguna convicción real, digámoslo claramente por si acaso, nunca se sabe ....

En resumen, "trabajar y rezar" no me convenció, en aquel momento, de su utilidad, ni siquiera de su eficacia real o supuesta en mi progreso hacia la edad adulta (si se me permite decirlo...).

Pero tuve el deseo, la curiosidad, la loca idea cuando aún era bastante joven, después de encontrar un trabajo remunerado, de solicitar la admisión en una logia masónica...

Aún hoy no me arrepiento de haber dado este paso y de haber sido aceptado y "reconocido como tal" por los hermanos de antaño...

¡Un punto de inflexión! Un "punto de inflexión" repartido en un sinfín de "umbrales", "caminos", "etapas", "pausas", "retornos", "avances", "callejones sin salida" también ... ...

¡Un punto de inflexión! Un "punto de inflexión" hacia una mayor "claridad" en lugar de la aún deslumbrante "Luz", hacia una "huida" de la "ilusión" humana y del materialismo árido, incluso sórdido, hacia una "apertura" intelectual pero también "espiritual"... ....

¡Un punto de inflexión! Un punto de inflexión hacia uno mismo, sin tapujos, hacia su centro más íntimo donde brilla una "pequeña parcela", hacia una apreciación de "lo alto y lo bajo", un acercamiento a "Maat" y a las orillas que hay que cruzar, vadear, hasta "la salida al día" ... ... ... ...

"ora et labora

Los seres humanos siempre han considerado imperativo "creer" en fuerzas distintas de las suyas, por lo que han "creado" "poderosas entidades superiores" (protectoras a ser posible) de un modo u otro.

A lo largo de sus ciclos terrestres, ha afinado su percepción de estas fuerzas (benéficas pero también maléficas), en cierto modo una especie de "transferencia de responsabilidades y acciones"... en cierto modo se podría decir que se ha puesto voluntariamente bajo el control de .....

Este fue probablemente el origen de la "oración", la apelación a las deidades, la súplica desesperada de los humanos aquejados de "malestar", la transferencia de miedos viscerales (incluida la muerte...) y deseos materiales (una especie de lotería de la época, si se me permite decirlo), pero no fue realmente eficaz.

Probablemente así surgieron los "sacerdotes" (sea cual sea su nombre ....): intermediarios a menudo codiciosos, estafadores, ambiciosos y prepotentes; pero entre ellos también había verdaderos poseedores de "poderes" ....

Así nació probablemente la "magia", la "teurgia", la búsqueda del conocimiento del "más allá", la supervivencia material y espiritual, la "salida a la luz"... Nacida pero no por "casualidad" sino más seguramente por el acceso individual (y colectivo) a una/varias/otra(s) dimensión(es) más "sutil(es)", de una esencia "espiritual" digamos para simplificar (aunque esto no sea exacto en mi opinión...).

"ora et labora

Pero (siempre hay un pero...)

Este punto de vista y estas reflexiones que expongo sólo se refieren a un "lapso de tiempo" ridículamente pequeño en comparación con nuestros "conocimientos", que se ponen en tela de juicio cada día, y con el "lapso de tiempo" ridículamente microscópico en comparación con la edad (aún presunta....) de nuestro planeta Ge.

Esta minúscula mota de polvo que llamamos, con un toque de orgullo y un arrebato de dichosa prepotencia, "Civilización", se ve constantemente cuestionada por los descubrimientos y las nuevas comprensiones (...) de una historia pseudo "terrestre", ni siquiera galáctica...

Los avances humanos conocidos, reconocidos Y deliberadamente relegados a un segundo plano por "incomprensibles" o/y "demasiado comprensibles" limitan nuestra huida de las vías materialistas y egoístas para (re)descubrir un sentido "espiritual" a una globalidad "cósmica, cosmogónica, cosmológica".

En cuanto a los que nos enorgullecemos de estar "iniciados", o al menos en el "camino de la iniciación", seguimos abiertos a lo imprevisible, a lo invisible, a lo supra e infra visible, a la libertad absoluta de búsqueda, de investigación, de... conciencia...

Un vasto infinito universal que intentamos explorar para comprender mejor lo que somos, lo que creemos ser, lo que esperamos ser... .

Así que ¡sí! Trabajamos lo mejor que podemos...

Entonces, ¡sí! Rezamos para intentar llegar "más alto en lo más profundo de nosotros mismos" ... ...

Así que ¡sí! Nuestra búsqueda nos da vértigo, y a veces nos acerca a la "locura" social ... ... ...

Así que ¡sí! A través de nuestro "trabajo" y nuestras "oraciones", podemos tocar otras dimensiones que han sido conocidas durante "siglos y siglos" por una desafortunadamente pequeña minoría de seres humanos a los que siento que puedo llamar "Elegidos", "Despiertos", "Guías" ...... . Algunos dirían "Maestros"... .........

¿Con qué fin?

Esencialmente... intentar dar una o varias respuestas al tríptico de "siempre":

¿De dónde vengo? ¿Quién soy? ¿Hacia dónde voy?

El corolario es:

¿Por qué? ... ... ¿Cómo? ... ...

No, no voy a darles mis respuestas, si las tuviera... Como todos nosotros, tengo algunos esbozos, a veces bruscos, a veces más matizados, pero ninguna certeza; no les sorprenderé... Sólo tengo hipótesis, pensadas, espigadas y forjadas a lo largo de mi camino actual. Corresponde a cada cual reflexionar, estudiar y meditar sobre estas cuestiones ("¿fundamentales?").

Además, la otra parte aclara una certeza material humana ...

y "memento mori

Pero (sí, ahí también ....) no es tan sencillo, incluso e incluso para los que ven este "término" como un "término absoluto" ... ...

Los caminos potenciales son infinitos ... . Como lo son los "pensamientos y reflexiones" de cada uno de nosotros ...

¿Cómo olvidar que la muerte es inevitable? Pero, ¿de qué tipo de muerte estamos hablando? Ese es el verdadero umbral entre el individuou...... .

¡Y no me digas que después de la Vida no hay nada! Einstein, entre otros, consideró y demostró (matemática y físicamente, "científicamente") que "nada fue creado, nada desapareció, todo se transformó ...."; también fue uno de los físicos que desarrolló el estudio de la "física cuántica", tan confusa para las "mentes cartesianas"...

"memento mori

En el fondo, los seres humanos ya temen más al "dolor" que a la muerte... A pesar de su terror a encontrarse "solos" (¿con ellos mismos?). El egoísmo tiene consecuencias .... para todo.

Ya el ser humano en su infinito egoísmo y ego no acepta interrumpir su presencia material sobre Gé... tanto cree... indispensable....

En su aprehensión de la "muerte física", el ser humano ya se cree y quiere ser físicamente inmortal... Pero, ¿se da los medios para estudiarla con sinceridad, objetividad y serenidad?

¿No es eso lo que, por nuestra parte, intentamos percibir y "comprender", al menos en parte?

Y todo ello con total libertad de pensamiento, sin cortapisas ni límites...

¿Inmortalidad / Eternidad?

Aquí tenemos dos (2) palabras que no tienen el mismo significado, si no me equivoco ... ... ...

Para decirlo "simplemente", para hacerlo "corto", brevemente pero en toda conciencia y "objetividad" he aquí lo que puedo percibir, personalmente, sobre los dos "significados" al mismo tiempo "científico Y espiritual":

Inmortalidad

La inmortalidad, por supuesto, descarta la "muerte" en su sentido común, parcial y sesgado; por otra parte, no hay nada que indique "el principio"... del tipo "en el principio era el Verbo (...)".

En resumen, no hay un "principio" definido, pero sí un "no final" definido...

Esto me parece un poco inestable .... No me satisface ni materialmente, ni científicamente, ni intelectualmente, ni espiritualmente. Sigo "hambriento" de comprensión y algo dudoso y frustrado.

Eternidad

La eternidad, si no me equivoco, no tiene principio ni fin. Aquí me encuentro ante lo que yo llamo el Misterio Absoluto ...... .

En resumen, esta pregunta me remite al "Círculo" (con o sin punto central visible, pero esencial en la geometría euclidiana y en las matemáticas pitagóricas - digamos "clásico en nuestra época escolar de ayer....), o incluso a la "Gallina y el Huevo"...

Esto me deja perplejo y "desorientado", sin referencias geográficas, o más, al principio.

¿Inmortalidad / Eternidad?

Se podría decir: "ser inmortal para la eternidad". Pero para un cierto número de nosotros, la búsqueda emprendida por curiosidad teñida de egoísmo (sí, ....) no es la búsqueda de una fachada de sincretismo, sino la comprensión a todos los niveles (al menos siete -7-) del cómo/por qué...

Para nosotros, "ciencia" y "espiritualidad" están unidas, íntimamente ligadas en el nivel más profundo de la Vida. La muerte nos intriga, nos preocupa, por supuesto, pero sobre todo no nos parece "lógica", ni científica ni espiritualmente, ni es un término gélido y negro en nuestros universos bañados por la luminosidad de la Luz (no, no es una redundancia, sino un enfoque diferente...).

Dos esquemas que hay que estudiar y profundizar en un ambiente tranquilo y sereno...

Esbozo de una aproximación al "Bardo Thödol", impropiamente llamado "Libro tibetano de los muertos".

En realidad, es un texto del budismo tibetano que describe los estados de conciencia y las percepciones que se suceden durante el periodo que va desde la muerte... hasta el renacimiento.

No es un "libro", sino un texto que despliega un camino ... ...

El "día" en cuestión es el de los vivos, pero también el de cualquier principio luminoso opuesto a la oscuridad, el olvido, la aniquilación y la muerte ... ... ...

¿Necesito señalar que los buscadores vamos más allá de los dominios filosóficos y puramente materiales...?

¿Inmortalidad / Eternidad?

No tenemos complejos, ni aprensiones, ni limitaciones en nuestras investigaciones, reflexiones y meditaciones...

El tiempo no existe para nosotros

Para nosotros, las dimensiones son infinitas en su declinación Para nosotros, no existe "una verdad" (dogmática, por otra parte...)

Nuestros límites son personales, porque tenemos que sumergirnos en lo más profundo de nosotros mismos para intentar alcanzar el infinito...

La nada no existe, el vacío no existe y, como los budistas en particular pero no exclusivamente, creemos que el "mundo" es una ilusión...

La investigación científica reciente (desde principios del siglo XX) en matemáticas, geometría, física y física cuántica, biología, historia y arqueología, música, filosofía, astronomía y astrología, etc. en

De hecho, todo el abanico de ciencias que conocemos .... evoluciona exponencialmente, ampliando nuestro(s) campo(s) de visión, percepción y sentimiento.

Esta es una de las razones por las que nuestros compañeros y maestros trabajan en las siete (7) Artes Reales.

También están nuestras obras "herméticas y esotéricas", siempre sorprendentes, a veces inquietantes, que pueden perturbar nuestro "zumbido", desgraciadamente demasiado habitual... Aquí tampoco hay límites, salvo los que puedan ser estrictamente personales para nosotros...

Nuestra Masonería, la de la Orden Masónica, es simultáneamente especulativa y operativa a medida que avanzamos en nuestro camino individual y colectivo .......

Poco a poco, si lo deseamos, podemos abordar los "aspectos espirituales" ocultos aquí y allá.

De este modo, podemos explorar la "Escalera de Jacob", "el Árbol Sefirótico", el descubrimiento de los "chakras", las "realidades concretas de nuestros cuerpos", la "alquimia" (término del que se abusa deliberadamente, por lo general con buen fin...)..;

Así pues, para nosotros, los distintos campos son otros tantos caminos, enigmas, fuentes de reflexión/meditación, estudios "racionales", estudios "filosóficos", estudios "espirituales"; en resumen, no tenemos fronteras en nuestra búsqueda "blanca".

Así que para un buen número de hombres y mujeres, somos "extraños", "bizarros", incluso para una gran masa de miembros/suscriptores de múltiples Logias y obediencias, para quienes deberíamos estar "bajo el cuidado de medicinas "psy...." porque no tenemos gusto por las ambiciones egoístas que se enroscan y ocultan en estas "estructuras materiales y societales", que tampoco condenamos ... ...

Como una "conclusión" provisional, frágil y aleatoria, un "texto histórico" que deberían leer todos los buscadores a todos los niveles ...

CAGLIOSTRO

El 31 de mayo de 1786, Cagliostro comparece ante sus jueces.

- ¿Quién es usted? ¿De dónde eres?", dijo el presidente.

- Un noble viajero", respondió con cierta suficiencia. Entonces el acusado se identificó con una célebre declaración que dejaré que reflexionen.

Una súplica inmortal

"No soy de ningún tiempo ni lugar; fuera del tiempo y del espacio, mi ser espiritual vive su existencia eterna y, si me sumerjo en mis pensamientos remontándome en el curso de las edades, si extiendo mi mente hacia un modo alejado del que percibes, me convierto en el que deseo. Participando conscientemente en el Ser absoluto, regulo mi acción en función del entorno que me rodea. Mi nombre es el nombre de mi función y lo elijo, al igual que mi función, porque soy libre; mi país es aquel en el que fijo momentáneamente mis pasos. Fíjate en el ayer, si quieres, engrandeciéndote con los años vividos por antepasados que te eran extraños; o en el mañana, por orgullo ilusorio de una grandeza que tal vez nunca sea la tuya; Yo soy el que es...

Aquí estoy: soy un Noble y un Viajero; hablo, y vuestra alma se estremece al reconocer palabras antiguas; una voz en vuestro interior, que ha permanecido en silencio durante mucho tiempo, responde a mi llamada; actúo, y la paz vuelve a vuestros corazones, la salud a vuestros cuerpos y el valor a vuestras almas. Todos los hombres son mis hermanos; todos los países me son queridos; viajo a través de ellos para que, en todas partes, el Espíritu pueda descender y encontrar un camino hacia vosotros. Sólo pido a los reyes, cuyo poder respeto, su hospitalidad en sus tierras y, cuando me es concedida, paso, haciendo todo el bien posible a mi alrededor; pero sólo estoy de paso. ¿Soy un noble viajero?

Como el viento del Sur, la deslumbrante luz del Sur que caracteriza el pleno conocimiento de las cosas y la comunión activa con Dios, voy hacia el Norte, hacia la niebla y el frío, abandonando trozos de mí mismo a lo largo del camino, gastándome, disminuyéndome en cada estación, pero dejándote un poco de claridad, un poco de calor, un poco de fuerza, hasta que por fin me detengo y me fijo definitivamente al final de mi carrera, a la hora en que la rosa florece en la cruz. Soy Cagliostro...

Toda luz viene de Oriente; toda iniciación, de Egipto...".

Cagliostro (1743-1795)

Extracto de las actas de su juicio

Secretos de la masonería egipcia Denis Labouré

Ediciones Chariot d'Or

de Α a Ω

de Sustantivo a Sustantivo

el 06 del mes EPIPHI de la Temporada SHEMON del año 000.000.000 del 

o año 13.564 de la "ZEP TEPI" (30/06/2023 EV)

Christian Joffart


 

He who does not know …


He who doesn't know, but doesn't know that he doesn't know, is a fool.

Avoid it.

He who does not know, but knows that he does not know, is an apprentice.

Teach him.

He who knows, but does not know that he knows, is asleep.

Wake him up.

He who knows and knows that he knows is a master.

Learn from him.

Arabic proverb


Here's a "beautiful" Arabic proverb that puts us "masons" up against the wall ... However, the linguistic structuring of these lines reassures me personally, and I'd even go so far as to "believe", on this reading, that I'm positioning myself on the outside and simultaneously, as it were, in a "superiorly elevated" position .... Which doesn't seem to me to be a very good perception of my poorly controlled "ego", I freely admit.

So I'm going to do my best to rise by going down ... because if my memories remain valid, a Trois Fois Grand whispered this ambiguous and paradoxical situation to us ... ... ago. Or even more.

From this proverb I choose to take a simultaneous look at the four (4) "proposals" for action in the face of a situation

given...

And I dare to hope that I have understood the meaning of the assertions that follow one another in the space-time in which I think I find myself in general, within the Order in particular...

But if I turn my gaze to my past, am I sure I know where I am right now? Que nenni point question probably ...

Of these four (4) potentialities, each refers to "knowledge" ... not to "knowing" ... it is therefore necessary AND indispensable to "see" the definitions of the two (2) terms ... ... I'll choose two "arbitrarily", or more precisely, two that "speak" to me ... ... ...

e) "https://www.jepense.org ' difference-knowledge

The difference between knowledge and knowing (philosophy) - JePense.org

Knowledge is a given, whereas learning is a path; knowledge is recitation, whereas learning is understanding and appropriation; knowledge is affirmation, whereas learning is questioning; knowledge is accumulation, whereas learning is (...)

f) www.quelle-difference.fr ' difference-knowledge-knowledge.html

The difference between knowledge and knowing

Knowledge is linked to a community, a body of knowledge or an individual. Knowledge, on the other hand, is the process of individual assimilation of this knowledge. It thus refers to more specific objects, but above all to the individual experience of this knowledge.

I submit and leave these two definitions to your wise and fertile reflections, and even encourage you to find more ..., to which you would be more "sensitive" ...

"Avoid it" ... And why is that? If "I know", why shouldn't I try to share all or part of what "I know"? I seem to remember a number of oaths, pledges to listen, and possibly to assist those in the dark ...

"Avoid it" ... And why is that? There's a saying that "to conquer without peril is to triumph without glory", but for my part I add and replace "without glory" by "more easily" .... To satisfy my "ego"? to "preserve" myself from the possible negative, even nauseating, splashes of my own past here and/or elsewhere?

"Avoid it" ... And why is that? Since I'm supposed to "know", no illusions are possible; I was what it is without any possible dispute, it's most certainly a reflection of my "yesterday", it's an intrinsic "part" of my "today" isn't it????

see ....)!

"Educate him" ... Bigre, an imperative! And what have I got to do with it! Am I not a "free man"?

"Instruct him"... Me, 'instruct' an apprentice! And in what capacity? I'm not a second supervisor, and I'm not

and even if I am, if not capable, at least willing to "teach"? If my own experience is anything to go by, I'd hardly be able to instruct him, at most to tell him about my own journey of the "in my time" type...

"Instruct him" ... This "imperative" always disturbs me, precisely in view of my background ... ...

"Wake him up" ... But does he sleep or meditate with closed eyes like our "elders" of which I am now a part and ad vitam aeternam ... ... ...

"Wake him up" ... I hesitate ... what if he was revising first, reflecting later, his still theoretical knowledge of the "7 Royal Arts"?

"Wake him up" ...Who knows, is he preparing a rare intervention to come within the Lodge, and trying to regain a shred of serenity, and courage, to stammer a few words, not yet a "Word"?

"Wake him up" ... Why? If he's asleep, perhaps his materiality has made way for his spirituality to explore other lands invisible to his eyes .......

"Wake him up" ... By what "right"? Is it my "duty"? After all, perhaps he's using a "key" to open a door, his heart, his mind to one of the impalpable realities that are impossible for him here and now otherwise?

"If I want to learn from him, I have to admit that I'm lacking in knowledge, and that's something my ego can't stand ....

"Learn from him"... Whoa! Besides I'm a "free man", why should I give in, obey such a sharp and violent imperative ....

"Learn from him"... What can I learn from him, I'm now too old, sclerotic, turned towards my physical, mental decay, so what's the point?

"Learn from him"... What can a "little brat" bring to Me! I received the Light more than forty years ago, wandering and meditating in the aridity of my inner desert, crossing so many and so many degrees in seniority for my "ego" still lurking and giggling in my nightmares...

"Learn from him"... From him? A "pseudo master" then because my decorations shine much brighter than his, my stacked ranks crush this rustic and banal apron, my assiduous past speaks for me, I've already heard it all in lodge ... and the "elders" (of which I'm finally now a part) have co-opted me!!!! Not so for this one!

"Learn from him"... I'll try, cheating a little .... I consider "him" to be "me", in fact I'd go so far as to say that it's my reflection in the mirror that I've had in my bag since my companionship ... ...

"Learn from him"... But if "him" is "me" ..... I'm engaging in an inner dialogue with no red herrings, I'm "going through the looking glass", I'm on "both sides" with no reflections, I'm "me" in its wholeness but I still aspire to "totality" ... More "refined" tools are now necessary for me in this "space-time" ... "spiritualized" de facto! At last, it suddenly seems to me.

This "Arabic proverb" is confusing (in every sense of the word .....), and I'd like to give it several levels of reading and understanding. Could it be, in whole or in part, "hermetic"????

So this Arabic proverb seems to trap me in the bubble of my "space-time", and to scratch my personal and profound conception (especially my "ego"....) of a subject with not inconsiderable aspects... But isn't "the world" "illusion(s)"?

In any case, I remain pensive, perplexed, meditative in front of this "Arabic" pro-verb that carries me along in a whirlwind of thick, diaphanous clouds, that flashes with 108 "stone" flashes, that could trace a path without visible traces in the invisible material where I sometimes struggle (bâts?) in the irritation of my intellectual frustrations that hardly manage to lead me towards the spiritual elsewhere that I guess, sometimes discern, in the human fog...

So I turn a little fearfully to two other quotes that have intrigued me for ... and more, although I now glimpse one of the deeper meanings, well I think ......

"ora et labora" and

"memento mori" "Pray and work."

and

"Don't forget you're going to die"

The music of these Latin words tickles my "conscience" (in a single word) and teases the effort of my reflection pointed beyond the beyond...

All too often, the "Latin language" is closely associated with "Christianity" (a rather recent "religion" after all), and the majority of human curiosity can't see any further, or any higher, apparently.

It's true that the "sound" (vibrations, Energy ...) of it has always "stirred" my body and mind ... who knows the soul too? When I listen to Gregorian chant, I'm under a "spell", as if I were entering another Universe, or/and another dimension(s) ... ...

The same is true, for me at least, when listening to "orthodox" chants, to serious "Tibetan" chants, to the "Om̐" crossing the ether ...

"ora et labora

"Praying", yes I knew in my youth like many others .... But did I know what I was doing, without any real conviction?

I also knew how to "work", from a "materialistic" and sometimes "intellectual" point of view (when I was at school), but it didn't really arouse my enthusiasm ....

My solitary, post-adolescent reflections allowed me to delve deeper (superficially, I admit) into these two notions, which could have seemed like "two pillars", or even "two columns", of a human life that was presenting itself to me (as to everyone else, for that matter) in the dying years of an "economic prosperity" that was already disintegrating .... And then, at those moments, I understood the reality of socio-economic inequalities in a way other than "hearsay" ....

"Working for pleasure? For pleasure? Out of obligation? Of course, as I was unable to continue my studies, I soon realized that "materialistic" constraints were already dotting my path.

"Praying", out of "habit" when I needed/wanted something .... Certainly but without any real conviction, let's say it clearly just in case, you never know ....

In short, "work and pray" didn't convince me, at that time, of their usefulness, or even of any real or supposed effectiveness in my progress towards adulthood (if I may say so...).

But I had the desire, the curiosity, the crazy idea, still quite young, after finding paid employment, to seek admission to a Masonic Lodge...

Even today, I have no regrets about having taken this step and having been accepted and "recognized as such" by brothers of yesteryear...

A turning point! A "turning point" spread over a multitude of "thresholds", "paths", "stages", "pauses", "returns", "advances", "dead ends" too ... ...

A turning point! A "turning point" towards greater "clarity" rather than the still dazzling "Light", towards an "escape" from human "illusion" and arid, even sordid materialism, towards an intellectual but also "spiritual" "openness" ... ...

A turning point! A turning point towards oneself and unvarnished, towards one's innermost center where a "tiny parcel" gleams, towards an appreciation of "high as well as low", an approach towards "Maât" and the banks to be crossed, forded, until "coming out into the day" ... ... ... ...

"ora et labora

Human beings have always found it imperative to "believe" in forces other than their own, and have therefore "created" "powerful higher entities" (protective if possible) in one way or another.

Over the course of his earthly cycles, he has refined his perception of these forces (both beneficial and malefic), in a kind of "transfer of responsibilities and actions" ...in a way, you could say he has voluntarily put himself under the thumb of .....

This is probably how "prayer" was born, the appeal to divinities, the desperate plea of humans in "malaise", the transfer of visceral fears (including death...), of material desires (a sort of period lottery, if I may say so), but the effectiveness wasn't really there.

Thus were probably born the "priests" (whatever their denominations ....) intermediaries often greedy, swindlers, ambitious and upstart; but among these there were also, already, real possessors of "powers" ....

Thus was probably born "magic", "theurgy", the quest to know the "beyond", material and spiritual survival, "coming out into the day" ... Born but not by "chance" but more surely by individual (collective too) access to one/several/other more "subtle" dimension(s), of "spiritual" essence let's say to simplify (even if this is not exact in my opinion ...).

"ora et labora

But (there's always a but ...)

This look and these reflections that I pose concern only a ridiculously limited "time span" compared to both our "knowledge", which is challenged every day, and the ridiculously microscopic "time span" compared to the age (still presumed....) of our planet Ge.

This tiny speck of dust that we call, with a touch of pride and a zest of blissful self-importance, "Civilization" is subject to permanent questioning by the discoveries, new understandings (?) of a pseudo "terrestrial" history, not even galactic...

Human advances that are known, recognized AND voluntarily relegated because they are "incomprehensible" or/and "too comprehensible" limit our escape from materialistic and egotistical paths to (re)discover a "spiritual" meaning to a "cosmic, cosmogonic, cosmological" globality.

As for us who "pride ourselves" on being "initiated", or at least on the "path of initiation", we remain open to the unpredictable, the invisible, the supra and infra-visible, the absolute freedom of quest, research, ...consciousness...

A vast, universal infinity that we set out to explore in order to better, differently understand what we are, what we believe we are, what we hope to be ... ... .

So yes! We work to the best of our ability...

So yes! We pray to try to reach "higher in the deepest part of us" ... ...

So yes! Our quest makes us dizzy, and sometimes brings us close to societal "madness" ... ... ...

So yes! Through our "work" and our "prayers", we can glimpse other dimensions that have been known for "centuries and centuries" by an unfortunately small minority of human beings whom I feel I can call "Chosen Ones", "Awakened Ones", "Guides" ...... . Some would say "Masters"... ......... .........

For what purpose(s)???

Essentially ... trying to come up with an answer(s) to the triptych of "always" :

Where do I come from? Who am I? Where am I going?

The corollary is:

Why? ... ... How? ... ...

No, I'm not going to give you my answers, if I had any... Like all of us, I have some sketches, sometimes abrupt, sometimes more nuanced, but no certainty; I won't surprise you... I only have hypotheses, thought out, gleaned and forged along my current path. It's up to everyone to reflect, study and meditate on these ("fundamental?") questions.

Moreover, the other part clarifies a material human certainty...

and "memento mori

But (yes, there too ....) it's not that simple, even and including, for those who see this "term" as an "absolute term" ... ...

The potential paths are infinite ... ... As are the "thoughts and reflections" of each and every one of us ...

How can we forget that death is inevitable? But what kind of death are we talking about? That's where the real threshold lies, between the individualu...... .

And don't tell me that there's nothing after Life! Einstein, among others, considered and demonstrated (mathematically and physically, "scientifically") that "nothing is created, nothing disappears, everything is transformed ...."; he was also one of the physicists who developed the study of "quantum physics", so confusing to "Cartesian minds"...

"memento mori

Deep down, human beings already fear "pain" more than death... Notwithstanding their terror of finding themselves "alone" (with themselves?). The ego's selfishness has consequences .... on everything.

Already, human beings, in their infinite selfishness and ego, do not accept to interrupt their material presence on Gé ... so much so that they believe themselves to be indispensable...

Already, human beings, in their apprehension of "physical death", believe themselves to be, and want to be, physically immortal... But do they give themselves the means to study it with sincerity, objectivity and serenity?

Isn't that what we, for our part, are trying to perceive and "understand", at least in part?

And this in complete freedom of thought, without any constraints or limits...

Immortality / Eternity?

Here we have two (2) words that don't have the same meaning, if I'm not mistaken ... ... ...

To make it "simple", to make it "short", briefly but in all conscience and "objectivity" here is what I can perceive, personally, on the two "meanings" at the same time "scientific AND spiritual" :

Immortality

Immortality, of course, rules out "death" in its common, partial and biased sense; on the other hand, nothing indicates "beginning" ... of the "in the beginning was the Word/Verb (...)" type.

In short, no definite "beginning", but the affirmation of a "non-ending" ...

This seems a little shaky to me .... Doesn't satisfy me materially, scientifically, intellectually or spiritually. I remain "hungry" for understanding and somewhat doubtful and frustrated.

Eternity

Eternity, if I'm not mistaken, knows neither beginning nor end. Here I am, facing what I call the "Absolute Mystery" ...... .

In short, this question takes me back to the "Circle" (with or without a visible central point, but indispensable in Euclidean geometry and Pythagorean mathematics - let's say "classic in our school days of yesterday....), or even to the "Chicken and the Egg"...

This leaves me perplexed and "bewildered", with no geographical reference, or more, at first.

Immortality / Eternity?

You could say: "to be immortal for eternity". But for a certain number of us, the quest undertaken, out of curiosity tinged with egoism (and yes ....) is not the search for a syncretism of facade but the comprehension on all levels (at least seven -7-) of the how/why...

For us, "science(s) and spirituality" are linked, intimately linked to the very depths of Life. Death intrigues and worries us, of course, but above all it doesn't seem "logical" to us, either scientifically or spiritually, nor is it an icy, dark term in our universes bathed in the luminosity of Light (no, this isn't a redundancy, but a different approach...).

Two sketches that need to be studied and explored in greater depth, with calm serenity...

Sketch of an approach to the "Bardo Thödol", improperly called the "Tibetan Book of the Dead".

In fact, it's a Tibetan Buddhist text describing the states of consciousness and perceptions that succeed one another during the period from death... to rebirth.

It's not a "book" but a text unfolding a path ... ...

The "day" in question is that of the living, but also of any luminous principle opposed to darkness, oblivion, annihilation and death... ... ...

Need I point out that we seekers are beyond philosophical and purely material domains...

Immortality / Eternity?

We have no complexes, no apprehensions, no constraints in our research, reflections and meditations...

For us, "time doesn't exist".

For us, dimensions are infinite in their declension For us, there is no "one truth" (dogmatic at that ...)

Our limits are personal, because we have to plunge deep inside ourselves to try to reach infinity...

Nothingness doesn't exist, the void doesn't exist and, like the "Buddhists" in particular but not exclusively, we believe that the "world" is an illusion...

Recent scientific research (since the beginning of the 20th century) in mathematics, geometry, physics and quantum physics, biology, history and archaeology, music, philosophy, astronomy and astrology, etc., has led to the emergence of a wide range of new and innovative products.

In fact, the full range of sciences known to us .... are expanding exponentially, broadening our field(s) of vision(s), perception(s) and feeling(s).

This is one of the reasons why our companions and masters work on the seven (7) Royal Arts.

There are also our "hermetic and esoteric" works, which are always surprising, sometimes disturbing, and which can disrupt our "humming", which has unfortunately become all too often habitual ... No limits here either, except possibly those which may be strictly personal to us...

Our Masonry, that of the Masonic Order, is simultaneously speculative and operative as we progress along our individual and collective path .......

Little by little, we can, if we wish, tackle the "spiritual aspects" hidden here and there.

In this way, we can explore "Jacob's Ladder", the "Sephirotic Tree", the discovery of "chakras", the "concrete realities of our bodies", "alchemy" (a deliberately misleading term, generally put to good use...)...;

So for us, the various fields are all paths, enigmas, sources of reflection/meditation, "rational" studies, "philosophical" studies, "spiritual" studies - in short, we have no boundaries in our "white" quest.

So for many men and women, we are "weird", "strange", including for a large mass of members/subscribers to multiple Lodges and obediences, for whom we should be "under the care of "psy...." medicines, because we don't taste the selfish ambitions that curl up and hide in these "material and societal structures", which we also don't condemn ... ... .

As a provisional, fragile and random "conclusion", a "historical text" that should be read by all seekers at all levels...

CAGLIOSTRO

On May 31, 1786, Cagliostro appeared before his judges.

- Who are you? Where are you from?" said the president.

- A noble traveler," he replied with a certain smugness. Then the accused identified himself with a famous statement, which I'll leave you to ponder.

An immortal plea

"I am not of any time or place; outside time and space, my spiritual being lives its eternal existence and, if I plunge my thoughts back into the course of the ages, if I extend my mind towards a mode far removed from the one you perceive, I become the one I desire. Consciously participating in the absolute Being, I regulate my action according to the environment around me. My name is my function, and I choose it and my function because I am free; my country is where I momentarily set my course. Date yourself from yesterday, if you like, by embellishing yourself with years lived by ancestors who were strangers to you; or from tomorrow, out of illusory pride in a greatness that may never be yours; I am He who is...

Here I am: I am Noble and a Traveler; I speak, and your soul trembles as you recognize ancient words; a voice within you, long since silenced, responds to my call; I act, and peace returns to your hearts, health to your bodies and courage to your souls. All men are my brothers; all countries are dear to me; I travel through them so that, everywhere, the Spirit can descend and find a way to you. I only ask kings, whose power I respect, for their hospitality on their lands and, when it is granted, I pass through, doing as much good as I can around me; but I'm only passing through. Am I a Noble Traveller?

Like the south wind, the bright light of the Midi which characterizes full knowledge of things and active communion with God, I come northwards, towards the mist and the cold, abandoning a few bits of myself along the way, spending myself, diminishing myself at each station, but leaving you a little clarity, a little warmth, a little strength, until I am finally stopped and definitively fixed at the end of my career, at the hour when the rose blooms on the cross. I am Cagliostro...

All light comes from the East; all initiation, from Egypt..."

Cagliostro (1743-1795)

Extract from the minutes of his trial

Secrets of Egyptian Freemasonry Denis Labouré

Editions Chariot d'Or

from Α to Ω

from Noun to Noun

the 06th of the month EPIPHI of the Season SHEMON of the year 000.000.000 of the 

or year 13.564 of "ZEP TEPI" (06/30/2023 EV)


Christian Joffart


 

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